Geopolis a écrit:
Arkoline a écrit:
Comment est-il possible que le réchauffement actuel soit conforme aux prévisions qui ont été faites par le Giec depuis longtemps ? Est-ce une simple coïncidence ? Un coup de chance des experts qui ont créé les modèles ?
Il me semble qu'en 2000-2010, quand la hausse des températures s'est interrompue ou inversée, ils furent à la peine pour réviser leurs prévisions et trouver toutes sortes de théories pour expliquer ce phénomène contraire à leurs théories.
Il est prouvé que l'évolution du climat est conforme à ce qui était annoncé par les modèles.
Climate models published between 1970 and 2007 provided accurate forecasts of subsequently observed global surface warming. This finding shows the value of using global observations to vet climate models as the planet warms.Jennifer E. Kay, « Early climate models successfully predicted global warming », Nature, vol. 578, p. 45-46 (2020).
https://www.nature.com/articles/d41586-020-00243-wGeopolis a écrit:
Arkoline a écrit:
Pour quelle raison souhaitez-vous un réchauffement de quelques degrés ?
J'suis frileux. Non, plus sérieusement, à cause de la paléoclimatologie : la vie est plus florissante quand la Terre est plus chaude.
Un réchauffement de plusieurs degrés n'est pas du tout souhaitable. Au contraire, il faut espérer que le réchauffement sera très modéré.
A study finds that meeting climate-change mitigation targets will lead to a substantial reduction in economic damages. Here, economists present opposing views on the approach used by studies such as this one.Source :
https://www.nature.com/articles/d41586-018-05198-7Our results therefore suggest that achieving the 1.5 °C target is likely to reduce aggregate damages and lessen global inequality, and that failing to meet the 2 °C target is likely to increase economic damages substantially.Source :
https://www.nature.com/articles/s41586-018-0071-9An updated estimate of the economic damage of climate change makes a strong financial case for urgent action on greenhouse-gas emissions.
[...] Economists and analysts around the world have repeated the exercise many times, most prominently with the British government’s Stern Review in 2006 (N. Stern The Economics of Climate Change: The Stern Review; Cambridge Univ. Press, 2007). Almost all agree with the original conclusion: it will be much cheaper to spend the money on trying to curb emissions than to pay for the impact of the resulting climate change.Source :
https://www.nature.com/articles/d41586-018-05219-5