On se rapproche en fait de la situation qui prévalait avant les années 1900-1920, avant la concentration progressive des moyens de production énergétique.
Historiquement, les moulins à vent, à eau, à bourrique

; tout cela faisait une production énergétique décentralisée, éparpillée.
Et bien sûr installation et entretien était à la charge des locaux qui produisaient en fait leur propre énergie. La concentration progressive a fait disparaitre cet éparpillement, optimisation/rendement et capitalisme faisant bon ménage.
Jusqu'à ce qu'arrive notre période de "pénurie" qui nous pousse à optimiser non plus le rendement financier, mais le rendement énergétique. Et l'éparpillement revient, comme un retour de l'Histoire.
Mais les grandes entreprises cherchent à maîtriser ce morcellement et à garder la main sur les moyens de production. Ce qui n'est pas si facile.
D'où le subventionnement, qui assure que les installations sont répertoriée... (voyez à l'époque romaine comment les recensement ont travaillé pour l'impôt, et le clientélisme/servage à venir). Edf et consorts veut que nous soyons ses 'clients', au sens antique du terme.
Mais restent les petites installations 'sauvages'. Là ce sont le normes de sécurité qui sont les garantes du contrôle, puisque la délation (assurée par ce biais (assurer la sécurité de "tous"...) de n'être pas condamnée, puisque sinon dénoncer est un délit) garanti que l'on contrôlera/ratissera toutes les installations.
C'est la jungle, que j'vous dis !!!