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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Lun 31 Jan 2011 09:47 
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Je constate que personne n'a daigné répondre à ma question: si le pic est déjà atteint, cela veut dire que son origine est à placer il y a 50 ans, 70 ou 100 ans? et que cela modifie légèrement la latence de notre système et donc sa capacité à rebondir pour des coûts plus (ou moins) raisonnables.
Alain.g a écrit:
De toute façon, on ne retrouvera jamais pour les transports la souplesse, les performances et le coût du pétrole. La vie sera probablement toute autre ? Nous aurons connu le bon temps de la voiture facile et des voyages lointains à bas coup.
Mais bien d'accord pour dire qu'actuellement on gaspille dans des conditions scandaleuses , irresponsables, l'éclairage, le chauffage excessif, le transport, les emballages ....
Et c'est ce que l'on veut nous faire croire...
Mais les huiles faites d'algues, les bioréacteurs, le solaire orbital, les gaz naturels, les gaz de biosynthèses, les nouvelles voies du bio-éthanol (à parti de déchets agricoles, et plus de grains/nourriture), et tant d'autres (solaire, marée, vent, thermocouple, géothermique)...voilà de quoi être plus optimiste que pessimiste.
C'est notre dépendance envers le marché de la finance qui nous handicape, avec son absence de vision, et donc de capacité à décider d'un quelconque avenir pour l'humanité.


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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Ven 4 Fév 2011 09:27 
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Narduccio a écrit:
marc30 a écrit:
- le prix du pétrole monte a 100$
Si en fin 2011, le prix du pétrole est toujours à 100 dollars, c'est que l'économie n'aura pas redémarré et que la crise sera toujours là. Avant la crise, dans les milieux concernés on spéculait déjà sur un prix du pétrole largement supérieur aux 100 dollars.
:idea: Je souhaiterais émettre une opinion, qui me parais assez logique. Elle lève, si elle est juste, les peurs et inquiétude que l'on peut avoir envers l'avenir, cet inconnu (et inconnue^^)
:arrow: l'idée serait que, voyant la tournure des évènenements, les crises et pseudo-crises à répétition, les transitions énergétiques et écologiques obligatoires ou que l'on voudrait nous imposer; et bien il est fort possible que le terme de crise soir à abandonner.
:arrow: Le concept de crise recouvre un phénomène passager...
:?: S'il dure ou perdure ou devient cyclique, ce n'est plus une crise...
:arrow: Durant ou perdurant il advient que la transition vers une nouvelle époque est en cours, ou se termine.
:arrow: Devenant cyclique, il ouvre une périodicité qui forme la définition d'une époque nouvelle, avec un (des) processus périodique(s) comme le sont les saisons.

:idea: Dans tous les cas le terme de crise est impropre, ou insuffisant. et peut-être faut-il enfin lâcher le mot de 'transition' [ou crise de transition si l'on veut plaire aux tenant de la crise]. Nous avons quitté une époque en 1989/1990, et le tournant du siècle avec son libéralisme sans contrepoids et son 11septembre si commode [car offrant de justifier certains excès pour une nation qui en principe se les interdit] cela ouvre, il me semble le nouveau siècle un peu comme la conflagration de 1914 avait ouvert le précédent...
:? et là aussi c'est négatif: pas de révolution des peuples ou de science fiction devenue réalité... on n'est ni dans 2001, ni dans cosmos 1999...
:?: non?


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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Mer 9 Fév 2011 09:35 
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Nos besoins en matières premières sont le reflet de notre mode de vie.
Nous avons progressé dans notre Histoire invariablement vers un monde plus technologique, car sans doute est-ce notre nature profonde d'êtres techniques.
Faut-il alors avoir honte de nous même?
Ou faut-il au contraire assumer notre nature et poursuivre. Ce qui me fait dire que nous vivons la transition entre le monde du XXe siècle et le vrai XXIe. La référence à ce qui s'est produit lors des précédentes transition des XVIIIe/XIXe et XIXe/XXe peut nous servir.
La transition XVIIIe/XIXe fut celle de l'éveil des peuples, débutant avec la révolution française...
La transition XIXe/XXe fut celle de la fin de l'hégémonie européenne, et une décentralisation de la puissance économique et politique. D'abord en brisant le monopole européen vers les USA et la Russie, puis en éparpillant les centres de pouvoirs à la fin du siècle.

L'Histoire a une utilité qui est d'éclairer quelque peu la voie vers le futur.
Donc nous passons en ce moment même vers le vrai XXIe siècle. De nos choix d'aujourd'hui vont sans doute dépendre nos vie de demain.
Qu'est-ce qui nous guide, nous?
La peur, le courage, l'avidité, l'ambition?


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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Mer 13 Avr 2011 07:47 
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Panzermeister a écrit:
L'Histoire a une utilité qui est d'éclairer quelque peu la voie vers le futur.
Donc nous passons en ce moment même vers le vrai XXIe siècle. De nos choix d'aujourd'hui vont sans doute dépendre nos vie de demain.
Qu'est-ce qui nous guide, nous?
La peur, le courage, l'avidité, l'ambition?
:roll: Quand je vois que la re-monté de l'euro (qui aurait du être répercutée à la pompe par des prix stabilisés ou en légère baisse au moins aussi vite qu'on nous répercute des hausses sur des matières achetées bien avant) n'eut aucune incidence, je crois que le problème est, et je vais me répéter, directement lié à ce que notre société actuelle est presqu'entièrement dirigée par les forces de la finances...
:?: Donc le moteur de l'humanité, pour l'instant, c'est l'avarice...
glups!


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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Mer 13 Avr 2011 07:50 
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:!: Et le pire (peut-être) est que l'alternative à la Finance internationale, c'est l'Ecologie... On nous donne à choisir entre l'avarice et la peur...
:?: Qu'est-ce qui nous mettrait sur la voie du futur avec courage et un minimum d'ambition?


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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Jeu 21 Avr 2011 11:46 
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Puisqu'on parle de l'après pétrole, je souaiterai soumettre à votre sagacité un commentaire trouvé ici:
http://www.tchernobyl.fr/radio/?p=13
Radiotchernobyl a écrit:
À prendre conscience de notre engagement dans le nucléaire depuis soixante ans et de la pollution (accidents, incidents, essais d’armes, déchets) qu’elle a d’ores et déjà générée, malgré -je le découvrais dans votre rapport- un engagement massif, une expertise poussée, des investissements considérables, je me dis que la question du nucléaire ne peut plus se poser soit en “pro-”, soit en “anti-”.
Je crois désormais qu’il convient d’admettre que l’énergie nucléaire accompagne l’humanité et qu’une marche arrière, sans doute techniquement possible, relève d’un rêve de paradis terrestre -malgré le respect que j’éprouve pour celles et ceux qui défendent cette hypothèse-.
Je crois que notre engagement est avéré et qu’il est vain de pointer telle ou telle responsabilité pour l’instant. J’ai conscience que ce point de vue fera crisser des dents alors que la tendance au “pollueur-payeur” s’accroît. C’est qu’il ne s’agit plus de payer : personne, aucun état, n’est en mesure de payer le coût global d’un accident majeur.

Bien sûr, l’accident de Tchernobyl survient en territoire soviétique et sa portée -au titre de pièce principale dans les débats- en est quelque peu limitée. Nul part, dans mes lectures, je n’ai trouvé que l’on en veuille aux techniciens responsables de la conduite du réacteur au moment de l’explosion. Aucun témoignage, à ma connaissance, ne les injurie.
À lire le bilan de l’IGSN, j’ai le sentiment qu’il est dangereux d’isoler les centrales. Ce sont des monstres potentiels et les opérateurs devraient bénéficier de notre solidarité et de notre sympathie. Cela me paraît un facteur capital. Nous savons combien il est délicat pour un contingent armé d’être privé du soutien de la population dont il émane : il en résulte des engagements seulement motivés par l’argent, la satisfaction du travail bien accompli, au mieux la fierté d’être en adéquation avec la culture du corps auquel on appartient. Ça ne suffira pas pour l’énergie nucléaire : nous sommes trop loin du court-terme. Je crois maintenant qu’il appartient aux acteurs -opérateurs, exploitants, chercheurs, groupes de pression de toutes opinions- de considérer la question comme une réalité complète, active, encore une fois, absolument avérée. Nous y sommes.
Il ne s’agit pas de donner sa carte blanche au nucléaire, il s’agit d’y survivre. La responsabilité de tous est engagée et il faut être pragmatique. Que les “anti” travaillent à limiter sa prolifération, que les “pro” travaillent à d’avantage d’efficacité et de sûreté : il nous appartient d’y survivre, demain comme dans dix siècles.

Pour ma part, j’ai choisi de témoigner de ce que la catastrophe de Tchernobyl marque l’an 0 d’une très sérieuse nouveauté pour l’humain : la très très longue durée.
"Et chaque année, un nucléocrate, choisi au hasard, sera décapité à la hache. Et l'on se souviendra de l’année où le sort tombait sur un président." une plaisanterie qui fait parfois regretter que la roue ait tournée.


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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Jeu 21 Avr 2011 15:26 
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Panzermeister a écrit:
En tout cas même si le pic est atteint, cela signifie qu'il nous reste environ 20 ans pour faire la transition: n'est-ce pas suffisant?

Il ne faut pas oublier que le contexte de la transition c'est justement une énergie chère, donc un renchérissement des tickets d'entrée des projets de sortie du pétrole.
20 ans me semble en tout cas un délai très court pour sortir le monde de sa dépendance au pétrole, pour donner un exemple, l'entrée de la seule France dans le nucléaire (moins de 50% des besoins énergétiques du pays) a pris 15 ans.

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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Ven 22 Avr 2011 07:39 
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Panzermeister a écrit:
Puisqu'on parle de l'après pétrole, je souaiterai soumettre à votre sagacité un commentaire trouvé ici:
http://www.tchernobyl.fr/radio/?p=13
Radiotchernobyl a écrit:
À prendre conscience de notre engagement dans le nucléaire depuis soixante ans et de la pollution (accidents, incidents, essais d’armes, déchets) qu’elle a d’ores et déjà générée, malgré -je le découvrais dans votre rapport- un engagement massif, une expertise poussée, des investissements considérables, je me dis que la question du nucléaire ne peut plus se poser soit en “pro-”, soit en “anti-”.
Je crois désormais qu’il convient d’admettre que l’énergie nucléaire accompagne l’humanité et qu’une marche arrière, sans doute techniquement possible, relève d’un rêve de paradis terrestre -malgré le respect que j’éprouve pour celles et ceux qui défendent cette hypothèse-.
Je crois que notre engagement est avéré et qu’il est vain de pointer telle ou telle responsabilité pour l’instant. J’ai conscience que ce point de vue fera crisser des dents alors que la tendance au “pollueur-payeur” s’accroît. C’est qu’il ne s’agit plus de payer : personne, aucun état, n’est en mesure de payer le coût global d’un accident majeur.

Bien sûr, l’accident de Tchernobyl survient en territoire soviétique et sa portée -au titre de pièce principale dans les débats- en est quelque peu limitée. Nul part, dans mes lectures, je n’ai trouvé que l’on en veuille aux techniciens responsables de la conduite du réacteur au moment de l’explosion. Aucun témoignage, à ma connaissance, ne les injurie.
À lire le bilan de l’IGSN, j’ai le sentiment qu’il est dangereux d’isoler les centrales. Ce sont des monstres potentiels et les opérateurs devraient bénéficier de notre solidarité et de notre sympathie. Cela me paraît un facteur capital. Nous savons combien il est délicat pour un contingent armé d’être privé du soutien de la population dont il émane : il en résulte des engagements seulement motivés par l’argent, la satisfaction du travail bien accompli, au mieux la fierté d’être en adéquation avec la culture du corps auquel on appartient. Ça ne suffira pas pour l’énergie nucléaire : nous sommes trop loin du court-terme. Je crois maintenant qu’il appartient aux acteurs -opérateurs, exploitants, chercheurs, groupes de pression de toutes opinions- de considérer la question comme une réalité complète, active, encore une fois, absolument avérée. Nous y sommes.
Il ne s’agit pas de donner sa carte blanche au nucléaire, il s’agit d’y survivre. La responsabilité de tous est engagée et il faut être pragmatique. Que les “anti” travaillent à limiter sa prolifération, que les “pro” travaillent à d’avantage d’efficacité et de sûreté : il nous appartient d’y survivre, demain comme dans dix siècles.

Pour ma part, j’ai choisi de témoigner de ce que la catastrophe de Tchernobyl marque l’an 0 d’une très sérieuse nouveauté pour l’humain : la très très longue durée.
"Et chaque année, un nucléocrate, choisi au hasard, sera décapité à la hache. Et l'on se souviendra de l’année où le sort tombait sur un président." une plaisanterie qui fait parfois regretter que la roue ait tournée.


Le rédacteur de cela oublie un gros détail ; les conséquences de 150 ans d'utilisation des sources d'énergie fossiles. Et il est possible que le nucléaire nous aide à survivre aux conséquences de l'addiction de nos sociétés aux sources d'énergies productrices de CO2. On aura a se préoccuper de survivre au nucléaire si on survit aux conséquences du réchauffement global. Quand on combat un incendie, on accepte de ne pas se soucier des dégâts des eaux. Pas avant d'avoir éteint l'incendie.

_________________
Une théorie n'est scientifique que si elle est réfutable


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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Ven 22 Avr 2011 09:59 
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Le charbon a bien plus tué que le nucléaire civil, c'est sans comparaison et il pollue énormément dans la réalité. Or la fin du pétrole signifie le retour du charbon et de ses multiples applications, gazeuse notamment.
Certes, il existe la solution des schistes bitumineux mais apparemment elle entraine beaucoup d'oppositions de principe. Bizarrement le charbon ( un mythe social ) ne suscite pas les mêmes oppositions. Comprenne qui pourra ?

_________________
Heureux celui qui a pu pénétrer les causes secrètes des choses. Virgile.


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 Sujet du message: Re: Energie et fin du pétrole.
MessagePosté: Mar 26 Avr 2011 13:55 
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Vous forcez le trait, non?
Narduccio a écrit:
Et il est possible que le nucléaire nous aide à survivre aux conséquences de l'addiction de nos sociétés aux sources d'énergies productrices de CO2. On aura a se préoccuper de survivre au nucléaire si on survit aux conséquences du réchauffement global. Quand on combat un incendie, on accepte de ne pas se soucier des dégâts des eaux. Pas avant d'avoir éteint l'incendie.
Je dirais que le problème n'est pas tant de produire du CO2 que de savoir ce qu'il advient de ces 'GEC' après leur relargage dans l'atmosphère...
Alain.g a écrit:
Bizarrement le charbon ( un mythe social ) ne suscite pas les mêmes oppositions. Comprenne qui pourra ?
J'abonde dans votre sens... Car on oublie que le charbon n'est pas seulement salissant...
L'industrie d'extraction du charbon, ce sont les mines, le grisou, les effondrements, les affections respiratoires, les cancers, etc... Mais le charbon actuellement en France est plus lié au barbecue qu'à l'industrie: la faute au... nucléaire! :mrgreen:


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