Alors, je ne veux rien faire croire à personne. Je ne suis pas ivoirien, je n’ai strictement aucun intérêt dans cette histoire. Comme je l’ai dit hier, je suis juste un curieux.
Je n’affirme rien, je lis, c’est bizarre, je vous fais partager mon sentiment. Vous pouvez dire que ce que je lis est à la base orienté. Je vous répondrai que tant les chaînes nationales émettant à l’étranger que le site officiel du Pays sont en maintenance :
http://www.cotedivoire-pr.ci/. Je ne sous-entends rien, j’imagine bien que lorsqu’on considère quelqu’un comme ennemi de la démocratie, on se donne les moyens, y compris médiatiques (et peut-être surtout) de lutter contre lui, je dis juste que dans ce foutoir, il y a des choses qui sont parfois peut-être dites rapidement.
Non non, jugez vous-même par cet exemple :
http://blog.multipol.org/post/2009/03/0 ... te-dIvoireOu même :
http://danielclairvaux.blogs.nouvelobs. ... ent+gbagboOu encore :
http://www.senpremiereligne.com/index.p ... Itemid=143Et de nombreux autres.
Pour rouvrir le sujet, je pourrais vous dire que c’était un idiot (peut-être, après tout je m’en fous). Je n’en sais rien, mais une chose est sûre c’est que c’était un idiot qui n’avait pas les mains libres : les élections étaient déjà légitimement exigées dans des conditions qui lui échappaient. Les accords lui imposaient un premier ministre de l’opposition :Soro. Vous n’ignorez bien sûr pas que la commission procède de la primature.
Après, j’ai l’air de le défendre, mais pas du tout !
J’essaie juste de mettre à l’épreuve notre république dans laquelle je crois. J’ai entravé le cadeau irakien, j’aurais du mal à admettre le cadeau ivoirien.Vous dites que la Côte d’Ivoire n’est pas l’Irak, je réponds qu’une recherche sur l’état de son sous-sol m’a quand même stupéfait. Il y a encore pas mal d’incohérences, mais je crois que continuer à les énumérer me ferait passer pour un pro Gbagbo et me faire des ennemis sur passion histoire ; ce qui, vous en conviendrez, serait dommage.
Je vais donc suivre la suite des événements en espérant intérieurement que vous avez raison.
Sur ce, je vous dis à bientôt.
À vous et bien à vous.