Pendant longtemps, au PB il était habituel de voir les hommages que les administrations soit autonomiques ou municipales aux mains des nationalistes/indépendantistes, faisaient aux Gudaris, soldats d ETA morts en « action », ou comment les victimes des attentats ou leurs familles devaient pratiquement se cacher, telle était la crainte de subir des actions de groupes violents nationalistes, elles voyaient en maintes reprises les tombes des victimes souillées par les violents, et souffraient le mépris des administration, des voisins, qui en de maintes reprises, les menacer pour qu ils quittent le quartier ou la ville.
Lire les livres: “La noche de las víctimas. Investigación sobre el impacto en la salud de la violencia colectiva en el País Vasco , de la fondation Fernando Buesa qui decrit la peur et ses conséquences sur les victimes du nationalisme basque, ou Vidas Rotas, qui retrace la vie des plus de 800 morts a cause d ETA, ou
Algo habrá hecho. Odio, muerte y miedo en Euskadi´ (Ed. Espasa Calpe) pour se faire une idée.
Ou voir le film El infierno vasco de Iñaki Arteta qui dénonce la situation de peur que les nationalistes ont crées.
Des 86 villes basques ou l eta a assassiner, seulement une 30 ont honorer les victimes des attentats, le reste soit les a ignorer, soit a celebrer la morts des victimes, et élevé au titre de fils predilectes de la ville au membres de l ETA qui soit sont morts au cours des attentats, au cours des détentions, érigeant meme des monuments a ceux de l ETA morts en "combat". Il est curieux d observer comment c etait l opposition politique au PB, soit PSOE et PP, qui devait avoir une protection armée, 24H, 7/7, et que ceux au pouvoir n en avait pas besoin. Au PB il existe une crainte a s exprimer publiquement, de crainte de se voir dénoncer au milieu nationaliste, et devoir sa sécurité en danger. Pendant 22 ans la sélection espagnole de basketball n avait pas jouer un match au PB et il a fallut que le gouvernement autonomique change de mains, il est maintenant régit par une coalition PP et PSOE, pour voir l équipe nationale de basketball.
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