Aigle a écrit:
Toujours selon cette personne, la situation est inverse au pays basque : la langue basque est tres difficile et n'est vraiment maîtrisée aujourd'hui que par des "patriotes" anti-espagnols minoritaires et destinés à le rester. En outre la violence de l'ETA aurait discrédité l'identité basque pour bon nombre de basques eux-mêmes.
Le problème basque est un peu plus compliqué que cela, on ne parle pas beaucoups du traitement de la chose par l'état espagnol, il ne fait rien pour appaiser les choses malgrés plusieurs cessez le feu de l'ETA.
En Espagne la torture est courante (cf
amnesty international), de nombreux militant basques ont eu a en soufrir (quand je dis militant il peut s'agir de personnes pacifique, pas seulement de membres de l'ETA) par exemple
Martxelo Otamendi directeur d'un journal indépendentiste
Egunkaria.
Il y eu aussi l'interdiction d'un parti politique ces dernières années, deux d'entre eux ont même été empêché de pârticiper aux élections locales il s'agit du
Parti communiste des terres basques (PCTV) et d'Action nationaliste basque (ANV). L'état espagnol a tenté de recommencer pour les élection européennes (source :
http://www.lejpb.com/paperezkoa/2009052 ... /La-liste-“Initiative-Internationaliste”-legale).
A chaque fois le prétexte est un lien avec l’ETA.
Il y a eu aussi
un cas de disparition l'année dernière : Jon Anza.
Il y a aussi le problème de la dispersion des prisonniers de l'ETA.
Quand aux indépendentistes
ils ne sont pas si minoritaires que ça.
Conclusion : des efforts doivent être fait des deux côtés.