Le salon géopolitique de Passion-Histoire

Lorsque des citoyens en 1994, (el Pais, 2/5/94)se mobilisent pour défendre leurs droits, comme le cas des 14.000 qui ont signer un manifeste a faveur du droit a se servir de la langue de leur choix, ou Manifiesto para la tolerancia linguistica, en ce cas du castillan, ils sont traites comme des apestes, aussi bien par les partis nationalistes, CIU, ERC, IV, comme par le PSC, duquel de nombreux membres ont signer le manifeste, et ont vite “étés conseilles a se dédire”.

Le dit manifeste, demander un usage réel des deux langue et pas seulement du catalan, comme les autorités autonomiques font, et exigent la liberté de pouvoir choisir la langue d enseignement de leurs fils, etant une grande partie de ceux qui ont signer le manifeste des professeurs de l enseignement, qui vivent cette réalité.

La Generalitat considere l usage du castillan comme un exception, au meme titre qu une langue etrangere, (circulaire emisse par le directeur des services territoriaux du departement d enseignement) et rappelle au professeurs la loi sur l usage du catalan comme unique langue d enseignement, aussi a l interieur des ecoles comme a l exterieur. Cette circulaire fut emisse devant le fait qu une grande mayorites d enfants continuent a se servir du castillan au cours de la recreation ! (El Mundo 22/11/05).
En 2005 les dénonces pour abus dans l application de la loi sur l usage du catalan étaient de 1.800, plaintes déposer au Defensor del Pueblo, et ou il apparaît que la generalitat conditionne les subventions a l usage du catalan, qu elle passe outre de sa propre loi sur les libertés d usage des deux langues, (el Pais 31/11/05) .

Au mois de juin 2008, le gouvernement nationaliste de la Catalogne, le Tripartit (PSC,ERC ICV) décida la fermeture pour ne pas suivre les critères de promotion de la langue catalane, d une radio a Barcelone qui émettait en castillan, la Radio Union de Cataluña, qui est destiner principalement au catalan originaire d extremadura, donc une radio a faible audience, qui depuis 20 ans émettait depuis Barcelone.


Le président de la communauté autonome d Extremadura, Juan Ramón Ferreira, envoya plusieurs lettres demandant des explications aux présidents du Parlement de Catalogne, et de la Generalitat, Ernest Benach d ERC et José Montilla du PSC, respectivement, manifestant sa préoccupation pour la fermeture de Radio Unión, le 8 juin . Le journal ABC, publia que le gouvernement nationaliste catalan justifia la révocation de la licence d emissión du fait de ne pas suivre les critères sur la promotion de la langue catalane.
Le président du Parlement d Extremadura expliqua dans ses lettres que Radio Unión poursuit des objectifs sociaux et culturels desss originaires de l Extremadura en Catalogne, erappellele que des centaines de milliers d euquittèrentnt leur régions pour établirir en Catalogne et que leur travail a permit a la Catalogne de se développer économiquement, pour le moins.

Et en 2008, le CAC, ou conseil audivisuel catalan, ferma deux radio de la Cope en Catalogne, legalement pour motifs tecniques et autres, mais la relalite etait que la fermeture repondait a un avertissement voile contre une radio qui fait une opposition ferme et dure contre les politiques nationalistes soit en Catalogne soit au PB.
Deja l ancien president autonomique catalan Jordi Pujol de CIU, avait ordonner la fermeture de radios de la Cope en Catalogne, mais la justice refusa la fermeture et donnat raison a la radio.

La generalitat approuva l exigence que les professeurs universitaires soient obliges a obtenir le niveau de connaissance du catalan, niveau C, en contre de l avis de la majorité des universités en Catalogne, donc l universitat autonoma de Barcelona, qui voient dans la mesure une limitation d arrive de talants dans les universitésites en Catalogne et une réduction du niveau qui peut mener a une perte de qualité de l enseignement universitaire. La vicepresidente du gouvernement central Maria Teresa Fernández, soumise au exigence des partis nationalistes qui soutiennent le gouvernement central, voit d un bon œil la mesure.

En 2007 la generalitat avait inverti dans la promotion du catalan, 57 millions d euros, face au x 81 millions que l etat espagnol inverti dans la promotion du castillan a travers l institut Cervantes.
Depuis l arrivee de J.Montilla au pouvoir le gouvernement autonomiste catalan a multiplier par 3 les dépenses pour la langue, et ceci en contre de ce que Montilla avait promis moins de politique nationaliste et plus de gestion , mais prisonnier des appuis que les indepandantistes lui offrent, il doit suivre la politique que ceux-ci lui dictent.

En 2005 apparut brièvement la nouvelle suivante: le Centre de Recursos Educatius per a Deficients Auditius de Catalunya (CREDAC), soit le centre pour les aides au malentendants, refusa aux enfants Héctor de 10 ans et Eloy Arrabal de 5 ans, sourds depuis leur naissance, leur droit a etre enseigner par les logopedes dans la langue materne, le castillan, au centre du Creda dans leur comune du Baix Llogregat . Devant les protestes des parents, qui se sont plaint que l école publique du Barrufet ou leurs fils étudient, a Sant Boi del Llobregat, devant leur volonté que leurs fils soient aussi scolarises dans la langue habituelle de la famille, le castillan, l administration et la dirrection de l ecole, ont fait la sourde oreille, ayant eut plusieurs fois comme réponse non officielle; s ils veulent que leurs fils soient éduqués en castillan, ils devraient alors sortir de la Catalogne.
La mère Maria Encarnacion, a meme ete menacer de voir l administration autonomique leur retirer la garde des fils, si elle continuer a poursuivre dans son attitude, qui ne faisait que leser l education des enfants. Publier par Marita Rodríguez, presidente de l Asociación por la Tolerancia, le 01/09/2005 - AT, Boletín nº 29


Dans les annes 90, la Generalitat realisa une enquête dans les milieux écoliers pour voir le degré d usage du catalan soit par les eleves soit par les professeurs.
Elle a crée la figure des 'coordinadors lingüístics', ou coordinateurs de la langue, qui doivent rédiger des rapports sur l usage en classe ou dans l enceinte des ecoles, de l usage du catalan, et doivent motiver les eleves et professeurs dans l emploi du catalan comme langue habituelle dans leurs relations.

En 2006, un pere, Carmelo González qui ne pouvait pas scolariser sa fille en castillan décida de faire une greve de la faim comme ultime recours.

Autre tension crée depuis ERC, fut celle de promouvoir le boycott a l appui de la candidature de Madrid comme ville olympique, nouvelle apparut le 27/11/04 dans le Pais, comme réponse au fait que le gouvernement espagnol s opposait au reconnaissement de la sélection catalane d hockey.

Autre tension: celle d ERC sur le boycott des produits non catalans, incitant les consommateurs de la Catalogne à n'en pas acheter des produits venant de l extérieur de la Catalogne.
Le dit boycott finit par se retourner contre les produits catalans, et nombreux furent les industriels catalans a demander a ERC de se dedire.
Dans le reste de l Espagne il eut aussi quelques tentatives de boycott envers les produits fait en Catalogne comme reponse.
Le chef de Freixenet, importante marque de Cava, reconnut dans le journal Expansión (11-1-2005)
que la proposition de ERC sur le boycott a la candidature de Madrid, leur a fait perdre des ventes, suffisament pour sentir les effets du boycott sur les produits catalans. Le depute de CiU Joan Raventós devant les pressions des commercants et industriels catalan, declara que les paroles de Carod avaient etes peu reflexionnees, et causaient de graves prejudices au commerce catalan.
Un autre exemple de la separation entre les politiciens et la realite.

Ou la tension crée lors d un voyage officiel de JL Carod Rovira, ERC, et de P Maragall, PSC, en Israel, ou ils exigèrent le retrait du drapeau espagnol lors d un acte avec des autorités israéliennes, et ou Carod au cours d un hommage a Isaac Rabin, décide d abandonner l acte car il était mal a l aise avec la présence du drapeau espagnol.
El Mundo du 21/5/05.

Les nationalistes, savent qu ils ont une impunité, qu ils sont desicifs au gouvernement autonomique, alors ils se permettent des actes illégaux, comme celui réaliser par Xavier Vendrell, ex membre de l opuscule terroriste indépendantiste Moviment de defensa de la Terra, et membre du gouvernement catalan comme conseiller de governacio, qui exigea au personnel soit- il fonctionnaire ou pas de la Generalitat, un espèce impôt pour financier ERC, avec des menaces voilées d être mis a la porte en cas de refus a payer.
Nouvelle apparut dans el Periodico de Cataluña le 22/03/06.
Les conséquences pour Vendrell furent minimes, ERC étouffant rapidement l affaire.

Ou comme en septembre 2010, lors de la celebration du jour ferie autonomique, l onze de septembre, ou en theorie les commerces doivent etre fermes en Catalogne, mais vu le grand boom de commerces regis par des asiatiques ou des musulmans, qui ouvrent practiquement 7/7, des "volontaires" de ERC faisaient fermer "volontairement" les commerces ouverts, ceci sans que la police autonomique remue le petit doigt.


La politique d enseignement des nationalistes, commence a donner des fruits, ainsi, selon une enquête publiée, un 31% des independentistes ne sont pas d origine purement catalane, mais proviennent de milieux d origine castillans. (Círculo de Estudios Soberanistas, CES)

Un socialiste comme Joaquin Leguina, ancien president de l autonomie de Madrid, se questionne sur le fait que le PSC est en train de virer vers les idéaux nationalistes, laissant de cote sa base sociale, fondamentalement de travailleurs d origine castillane, et que le PSC épouse de plus en plus les thèses nationalistes, allant jusqu a fermer les yeux sur les illégalités commises contre une partie de la population catalane non nationaliste, faisant fi des résolutions de l UNESCO qui averti que les parents ont le droit de choisir la langue dans laquelle leurs fils doivent etre scolarises, soit le catalan, soit le castillan, comme prevoit la loi.

Et il eut la rencontre de Carod avec des membres de L eta a Perpignan, en 2004, rencontre en secret, sans l autorisation du gouverenement central, ni la connaissance du gouvermement autonomique, ou CArod etait vicepresident, ou il semblerait qu il avait réussit que l Eta en pose pas de bombes en Catalogne.
Il semblerait qu a la réunion participa Mikel Albizu, «Mikel Antza», le cerveau stratégique de l ETA a cette époque. Selon les filtrations ERC proposa a ETA en échange que l ETA ne posa pas de bombes en Catalogne, ERC appuierait politiquement les initiatives des indépendantistes basques, ainsi qu un appui aux activités de la gauche radicale indépendantiste basque, soit directement au PB soit aux membres des organisations basques en Catalogne.
IL semblerait que l accord ne contemplait pas les objectifs déjà marques par la bande terroriste qui se déplaceraient vers la Catalogne, pour éviter que cette région ne devienne un sanctuaire.


Vu les appuis que le gouvernement central avait besoin pour gouverner, il ne résultat seulement que la destitution de Carod comme vice president autonomique. Mais ces contact avec l ETA ne sont pas d une seule fois, ainsi en 2001 il avait négocier une rencontre avec des dirigeants d ETA a travers Carles García Solé ancien membre du «Front de Liberació Catalan», les contacts finirent par n avoir comme résultats qu une réunion avec les dirigeants de Batasuna, a Amorebieta le 21 juillet 2001 avec la presence de Arnaldo Otegi et Joseba Álvarez Forcada, qui fut suivie d une autre réunion en 2002, mais ne permit pas a Carod de pouvoir parler avec des dirigeants d ETA.

Autre tension mais celle la bénéficie les citoyens: la loi de circulation espagnole dans son article 56 et 138 oblige a que les panneaux de circulation soient écrits au moins en castillan, chose qui en Catalogne ne ce fait pas, étant les panneaux rédiges en catalan, d ou le fait que de nombreuses denonces de circulation ou de parking soient sans effets car les sanctionnes allèguent la méconnaissance du catalan, d ou l annulation du PV.
Les autorités nationalistes preferrent perdre de l argent avant que de changer les panneaux et les voir en castillan. (ABC 5/12/09)


En 2005 les dénonces de citoyens pour abus dans l application de la loi sur l usage du catalan étaient de 1.800 plaintes déposer au Defensor del Pueblo, dependant du gouvernement central, et ou il apparaît que la generalitat conditionne les subventions a l usage du catalan, qu elle passe outre de sa propre loi sur les libertés d usage des deux langues, (el Pais 31/11/05) .

En 2005 la generalitat ramassât pas moins de 81.250 euros en PV a des commerces et entreprises qui n usaient pas le catalan comme langue principale ( el Mundo, 27/11/05) a travers l agence de consommation catalane, qui accepte des dénonces anonymes par téléphone.

Rectification, ou il est ecrit que la Generalitat destine 57 millions d euros a la promotion du catalan, il faut lire 157 millions.

Nombreuses sont les voix en Catalogne, qui desirent que le PSOE et le PSC soient des partis differents, car le PSC derive de plus en plus vers le nationalisme catalan, se beneficiant des votes de la classe ouvriere castellanoparlante, qui vote tradicionnellement a gauche, mais qui ne se sent pas representer par le PSC.

Meme dans le PSOE il y a un malaise envers le PSC, les relations sont tendues.

De fait, lorque l actuel president autonomique de Catalogne, Jose Montilla, fut elu, les espoirs des castellaparlantes de voir un president de la Generalitat non nationaliste furent grands, et la campagne de diffamation de CIU envers Montilla fut dure, rappelant ses origines non catalanes, sa naissance hors de Catalogne... laissaient des espoirs a ceux qui avaient voter un changement de politique en Catalogne.

Mais Montilla, rapidement se fit plus papiste que le pape, et comenca a se servir du catalan comme langue habituelle en public, lui qui rarement s en avait servit anterieurement dans sa vie politique, et a se sousmettre au theses nationalistes.
Le desenchantement fut grand, et lorqu il pacta avec ERC pour s assurrer una stabilite au gouvernement catalan, l actuel ministre de travail, Celestino Corbacho, inicia les premiers pas pour realiser la separation entre PSOE et PSC, mais Zapatero l en empecha, lui promettant quelque poste dans le gouvernement central.

Si le nationalisme catalan est, si on suit ses thèses et si on s intègre a ses postulats, un nationalisme qui se veut intégrateur, qui na pas ou très peu de composante raciale, (quelques exaltes tout au plus), il base son identité plus sur la langue que sur autre chose, de fait il ni a rien qui fait le plus plaisir au pouvoir nationaliste catalan que de montrer des asiatiques, africains ou autres races, peuples, parlant en catalan et suivant leurs thèses.

Le nationalisme basque, est lui radicalement différent.
Le fondateur du PNV (parti nationaliste Basque) Sabino Arana était profondément raciste. Servent comme exemple ses quelques pensées :

Le basque est ne pour être seigneur, il ne sait pas servir, l espagnol par contre est ne pour être servile.

Dans des peuples aussi dégénérer comme le maketo(espagnol), le suffrage universel est un crime.

A nos maketos, il faut les expulser de nos villages a coup de cailloux.

Le basque est laborieux, l espagnol est paresseux, le basque est entrepreneur, l espagnol ne sert a rien.

Notre race est belle et singulière, … mais surtout par le fait de n avoir pas de contact ni fraternité avec l espagnole, ni la française ni aucune autre.

Si on comprend que des enfants écoutent ses slogans fréquemment, et qu en plus il les apprennent non seulement au sein de leurs familles, mais encore a l école, on comprendra mieux le pourquoi du terrorisme basque.