Le salon géopolitique de Passion-Histoire

Selon des calculs entre 200.000 et 300.000 basques ont quittes le PB a cause de la politique nationaliste et des actes de terrorisme, de chantage, menaces pour payer l impôt terroriste, ou le manque de liberté d expression.

Sous la législature d Ibarreche, l antérieur president autonomique, du PNV, 119.000 personnes ont fuit le PB.

Nombreux sont les fonctionnaires de l état destiner au PB qui preferent vivre hors du PB, a la limite des communautés autonomiques limitrophes et se déplacent quotidiennement de leur domicile vers leur travail. Même de nombreux policiers autonomiques basques, ont leurs domiciles hors du PB. (La razon 26/10/02)

En 1995 le groupe de support d eta, KAS, monta des contrôles dans les rues du village d Hernani pour contrôler l identité des passants, ceci en totale impunité.(ABC 27/04/95)

Lorsque le leader du PNV, Arzalluz fut questionne sur l exode de ses concitoyens, il se limita a dire "ancha es castilla" ou la Castille est vaste, ce qui veut dire que ceux qui ne sont pas content peuvent partir vers d autres lieux.


Le député du PNV Carlos Caballero, écrivit un conte destine au enfants du PB ou il décrivait la suivante situation:

"Au moyen age, arriva a un village du PB appele Ermua, une invasion de rats provenant d Espagne…"

En 2001 PP et PSOE avaient souligner que la politique d éducation du PNV créait de la violence dans l esprit des jeunes (la Vanguardia 5/6/00)
Comme en Catalogne, les nationalistes basques, savent qu éduquer les jeunes dans la propagande nationaliste leur apportera a moyen terme des futurs sympathisants et votants, d ou les efforts pour contrôler l enseignement. Avec les Ikastolas, ecoles ou la propagande basque est omniprésente, tout est fait pour manipuler les esprits.
Ainsi en 2003 , la Consejeria de Educacion, basque, soit le département d éducation basque envoya une note précisant aux professeurs des ikastolas de considerer comme inmigrants a tous les eleves qui n étaient pas originaires du PB. En 2008 la Federation d Ikastolas au cours de la celebratioón de la fete «Ibilaldia 2008»,, distribua des CD avec un jeu ou apparaisait le membre d ETA José María Sagarduy, «Gatza», comme une personnalite importante et comme prisonnier politique.
Seulement avec les pressions de l opposition au gouvernement nationaliste, celui ci ordonna la non distribution des CD restants.
En 2000, le parlement basque demanda au gouvernement du PNV d inculquer au enfants le refus a la violence politique dans les écoles. (la Vanguardia 24/6/00)

Un extrait d un livre que les enfants basques etudiaient et par chance retirer:
...Euskadi Ta Askatasuna (ETA) es un movimiento Vasco de Liberación Nacional creado en la Resistencia patriótica ... historia de segundo curso de Bachillerato, Editorial Erein).
Soit que l ETA es un mouvement basque de libération nationale crée dans la résistance patriotique.

Koldo Tellitu, président de la confédérationndes ikastolas déclarait que la construction nationale de la patrie basque passait par l éducation dans les ikastolas et que les ikastolas suivent les postulats de la Nazio etabaida gunea, qui se base sur une dynamique qui permettra obtenir l indépendance.

L ikastola "Toki Eder" de Vitoria demanda voilà quelques années que 2 travailleurs du service de nettoyage furent remplaces car ils ne parlaient pas en basque, cette meme ikastola avait un professeur qui fut condamner pour etre de l ETA.
Nombreux sont les professeurs qui ont sollicite des conges maladie pour depression etant poursuivis du fait qu ils sont castellanoparlantes dans les centres d education du PB qui ont des membres de la direction nationalistes, et par des inspecteurs d education nationalistes. Ainsi Álvaro Lajarazu, inspecteur d éducation a Basauri dans les années 80, était un ancien de l ETA.

Selon le système de barème etabli par la Consejería de Educación Vasca, pour obtenir une place de professeur de chimie, si la personne sait le basque elle necessitera obtenir 2,5 points mais si le candidat ne parle pas basque, il lui faudra obtenir 42,25 points, ainsi Einstein n aurait pas put donner des cours, vu qu il ne parle pas le basque.

Certaines ecoles vont jusqu aux punitions aux eleves pour avoir parler en castillan a la recréation.

Lire le livre: ETA, el saqueo de Euskadi, pour trouver d autres exemples.

L ikastola de Tudela vi a la fin de septembre de 2010 des graffitis qui l accusaient d etre un nid de terroristes de l ETA.


La détention d un chef de l ETA, Garikoiz Aspiazu alias “Txeroki”, demontre comment nombreux sont les terroristes qui ont étudier dans une ikastola. Pas moins de 8 membres d ETA detenus sont sortis d une ikastola.

La violence n est pas seulement celle des attentats terroristes. elle se developpe aussi au jour le jour, il suffit qu une fois au mauvais moment au mauvais endroit, quelqu'un critique telle ou quelle décision politique des nationalistes, ou que l on soupçonne tel citoyen d être contraire aux nationalistes, pour voir sa vie basculer dans l enfer: graffitis, voiture brûlée, menaces a la famille… ne tardent pas a tomber, et la police autonomique ou municipale ne fera rien pour venir en aide a la personne menacer.

De même le PNV a promut l idée que les terroristes ne sont en fait que des jeunes un peu nerveux, et profite a chaque occasion pour rappeler qu ils sont des soldats, des Gudaris, et pas de terroristes, permettant ainsi que dans les villages originaires des terroristes morts, se celebrent des actes en mémoire d eux.
Et le PNV ignore les victimes des attentas d eta, les marginalisant, les victimes et leurs familles, sont de nombreuses fois montrer du doigt par les nationalistes, et nombreux sont les basques nationalistes qui pensent que si l ETA a frappe tel ou quel personne , c est que cette personne le méritait.
Depuis quelques années, après l assassinat de Miguel Angel Blanco, de plus en plus de citoyens relevent la tete et essaient de faire face aux violents, chose qui semble plus facile maintenant avec le gouvernement du PSE et PP.

(La razon 29/9/02)

Pendant longtemps, au PB il était habituel de voir les hommages que les administrations soit autonomiques ou municipales aux mains des nationalistes/indépendantistes, faisaient aux Gudaris, soldats d ETA morts en « action », ou comment les victimes des attentats ou leurs familles devaient pratiquement se cacher, telle était la crainte de subir des actions de groupes violents nationalistes, elles voyaient en maintes reprises les tombes des victimes souillées par les violents, et souffraient le mépris des administration, des voisins, qui en de maintes reprises, les menacer pour qu ils quittent le quartier ou la ville.

Lire les livres:
“La noche de las víctimas. Investigación sobre el impacto en la salud de la violencia colectiva en el País Vasco
, de la fondation Fernando Buesa qui decrit la peur et ses conséquences sur les victimes du nationalisme basque, ou Vidas Rotas, qui retrace la vie des plus de 800 morts a cause d ETA, ou

Algo habrá hecho. Odio, muerte y miedo en Euskadi´ (Ed. Espasa Calpe) pour se faire une idée.

Ou voir le film El infierno vasco de Iñaki Arteta qui dénonce la situation de peur que les nationalistes ont crées.

Des 86 villes basques ou l eta a assassiner, seulement une 30 ont honorer les victimes des attentats, le reste soit les a ignorer, soit a celebrer la morts des victimes, et élevé au titre de fils predilectes de la ville au membres de l ETA qui soit sont morts au cours des attentats, au cours des détentions, érigeant meme des monuments a ceux de l ETA morts en "combat".
Il est curieux d observer comment c etait l opposition politique au PB, soit PSOE et PP, qui devait avoir une protection armée, 24H, 7/7, et que ceux au pouvoir n en avait pas besoin.
Au PB il existe une crainte a s exprimer publiquement, de crainte de se voir dénoncer au milieu nationaliste, et devoir sa sécurité en danger.
Pendant 22 ans la sélection espagnole de basketball n avait pas jouer un match au PB et il a fallut que le gouvernement autonomique change de mains, il est maintenant régit par une coalition PP et PSOE, pour voir l équipe nationale de basketball.

LE PNV a travers son porte-parole Egibar protesta de la presence de l equipe.

Une reflexión, le drapeau autonomique basque, fut initialement celui du parti PNV pour se convertir dans les années 30 comme drapeau de la communauté autonomique basque alors au mains du PNV. Certains y voient une copie du drapeau anglaisennemis de l Espagne durant de longues annees.

Les nationalistes, ont infiltres les diferentes administration et polices municipales du pais basque, comme en 2002 ou plusieurs agents de la police municipale de San Sebastian, se manisfesterent pour exiger la libération d un de leur camarade , Arkaitz Lavega Tarrega accuse de fournir des informations sur des possibles objectifs pour ETA, il a confesser être membre de la bande et de servir comme informateur.
Le maire de San Sebastian, chef de la police municipale, refusa investiger d autres possibles infiltres, qui selon la Guardia Civil, serait nombreux, etant admis comme policiers sur désignation du maire, sans la plupart remplir les conditions exiges pour etre policier.

Un autre membre d ETA inflitre dans ce meme corps policier etait Francisco Javier Añorga, qui finit sa prision pour en mars de de2001, et une fois libre, le maire de San Sebastian, ordonna sa reincorporation comme policier. Le journal EL MUNDO se fit écho de la nouvelle et le maire se vit obliger a restreindre les fonctions de l ancien membre d ETA, mais pas a le mettre a la porte et finit par le faire servir comme pompier municipal.
Depuis les années 80 pas moins de 13 policiers municipaux ont étés détenus pour collaboration ou appartance a l ETA dans plusieurs villes basques.

Bonjour.
Voila encore d autres examples des tensions:

« Quand les choses changeront, qui ne se declarera pas independentiste, sera un traitre"
Joel Joan, acteur promoteur de la Plataforma Sobirania i Progrés — celle qui organisa les consultes extraofficielles sur l independence, president de l Academia del Cine Catalán, declaration du 15 de septembre 2010.


«Nous eliminerons a tout celui qui s interposera sur notre chemin".
Joan Carretero, leader de Reagrupament, au cours de l ouverture d uen nouvelle delegation du parti a a Gerone le 27 febrier 2010.
« Nous avons l ennemi chez nous, comment pouvons nous supporter a ceux du PP... il faudrait les tuer tous...».
Ramón Bagó, ex directeur general de Tourisme de la Generalidad, le 26 novembre 2009.

«Les espagnols son des voleurs par le seul fait d etre espagnols».
Joan Oliver, exdirecteur de la television autonomique TV3 sous Jordi Pujol, declaration du 15 janvier 2008.

«Celui qui n est pas nationaliste ni aime les siens, n a pas le droit de vivre».
Javier Maqueda, senateur du Partido Nacionalista Vasco au cours du 18 Congres du Partit Socialista de Mallorque, le 30 de mayo de 2006.

" etre catalan es meilleur que ne pas l etre"
Artur Mas, president de la Generalitat catalane, declaration a la La Vanguardia, 9 janvier 2011.

" il suffira d appeller l Europe et ils bombarderont Madrid».
Josep Barba, au cours d un discours de Solidaritat Catalana per la Independència, parti de Joan Laporta, ex president du Barcelone, 6 aout 2010.


«La proposition de Rajoy suppose une guerre civile au cours des prochaiones generations, tout au plus en 25 ans».
Pere Macías, portevoix de CiU dans le Senat repondant sur l obligation de la Generalitat de respecter le droit des parents en Catalogne de choisir la langue de scoralite des etudiants, droit qui est constament refuser aux parents.

Merci Elijah de ces témoignages qui font froid dans le dos...


par ailleurs avez des commentaires sur le résultat des élections générales ?