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 Sujet du message: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Mar 29 Mai 2012 08:35 
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Au terme du quinquennat de N Sarkozy, je vous propose un premier bilan strictement d'ordre géopolitique.

Tout d'abord, une grande novation : le retour de la France au sein du camp occidental aux côtés des Etats Unis (rétntégration dans l'OTAN, gestes d'amitié divers comme l'intervention en Afghanistan).

Autres innovations quoique plus relatives : l'attachement à l'Europe des Etats et une certaine indifférence aux autres institutions (Commission, parlement...et la présidence Van Rompuy). La méfiance à l'égard de la Russie. Un certain rapprochement d'Israel. L'indifférence à l'Europe centrale. Un net rapprochement avec l'Espagne.

Plus inattendu : le recours à la force dans les affaires intérieures de certains Etats sous couvert de l'ONU : Côte d'Ivoire ou Libye.

Restent quelques traditions : la coopération franco-allemande. A laquelle on peut ajouter une tentative (apparemment peu fructueuse) de construction d'un axe parallèle avec les Britanniques (notamment dans le domaine militaire). Un intérêt peu lisible pour l'Afrique francophone.

On pourrait ajouter aux traditions la marginalisation croissante du Quai d'Orsay enfermé dans la gestion des procédures routinières (voir l'erreur d'analyse sur le printemps arabe) tandis que la "vraie" diplomatie se fait à l'Elysée ou subsidiairement au ministère de la défense (très actif en Afrique mais aussi en direction des Anglo-saxons notamment à cause de l'OTAN).


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 Sujet du message: Re: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Mer 30 Mai 2012 20:34 
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Sarkozy a été plus précis et plus percutant dans sa politique internationale (Otan, Lybie, Côte d' ivoire .. ) mais il me semble que Chirac, très expérimenté il est vrai, avait plus de rayonnement dans le monde, présent dans tous les continents, en Asie notamment. Son positionnement était plus équilibré à l'égard du monde musulman.

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 Sujet du message: Re: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Lun 11 Juin 2012 13:17 
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Atoutes fins utiles, le bilan "militaire" (mais le militaire n'est jamais loin du géopolitique) proposé par JD Merchet sur son propre blog :

Pour les électeurs français, l'heure est maintenant au choix décisif. Pour éclairer leur décision, tentons, sans parti pris, de dresser le bilan du quinquennat (2007-2012) de Nicolas Sarkozy en matière de défense. A chacun de juger.

1) Les opérations. Nicolas Sarkozy a été un président militairement actif en Afrique (Tchad, Cote d'Ivoire, Sahel), en Libye, en Afghanistan et dans l'océan indien. Les forces armées n'ont pas chômé. Les autres théâtres, comme le Liban et le Kosovo, sont restés en basse intensité durant ce mandat.

a) LA guerre de Sarkozy aura évidemment été celle de Libye. Il l'a voulue, l'a conduite et l'a gagnée. On peut débattre à l'infini de l'opportunité et des conséquences de cette guerre, mais à partir du moment où il s'y est engagé, avec, rappelons-le, le soutien de la gauche, l'affaire a été bien menée. Une stratégie navale et aérienne l'a emporté, à peu de frais humains et budgétaires.

b) En Afghanistan, Nicolas Sarkozy a hérité d'une guerre, mais Jacques Chirac lui avait laissé une situation relativement confortable, avec peu d'empreintes au sol : les forces spéciales venaient d'être retirées, le déploiement se limitait à deux zones calmes de Kaboul (même si la transition vers la Surobi/kapisa était décidée) et les avions de combat, peu employés, étaient basés en dehors du pays. Bref, une posture très prudente. Nicolas Sarkozy a engagé massivement la France dans cette guerre, en suivant le "surge" des Américains. L'affaire d'Uzbine, en aout 2008, a été un tournant. Jusqu'à lors, la France n'était pas vraiment impliquée dans le conflit - elle s'y trouva l'être brutalement. Le chef des Armées a donné à ses troupes les moyens de faire la guerre : les équipements et les hommes (jusqu'à 4000) ont suivis. L'armée française qui s'est battue en Afghanistan est une armée techniquement de premier rang qui aligne hélicoptères de combat, drones, artillerie, blindés, forces spéciales, etc. Regardez les images : l'armée de terre d'aujourd'hui ne ressemble plus à ce qu'elle était dans les Balkans. Beau travail militaire, mais pour quel résultat politique ? Dès 2008, j'écrivais qu'il fallait quitter l'Afghanistan et vite. Les faits m'ont donné raison, après bien trop de morts.

c) En Afrique, le grand succès de Nicolas Sarkozy aura été l'épisode d'Abijdan, lorsque l'armée française a donné le coup de pouce nécessaire pour que le président élu Ouattara puisse succèder au président sortant Gbagbo. Là encore du travail de professionnels.
Au Tchad, la France s'est trouvé impliquée dans la lutte armée entre le pouvoir et les rebelles en provenance du Soudan. La poudre a parlé, à N'Djaména (printemps 2008) avant qu'une force européenne - très française néanmoins - ne parvienne à stabiliser la situation.
Un nouveau front s'est ouvert en Afrique avec le Sahel. Là encore la poudre a parlé, pas toujours à bon escient. Si le COS et d'autres participent à la lutte contre AQMI, force est de reconnaître que les résultats ne sont pas là : trois otages ont été tués (dont deux au cours d'une opération spéciale) et six Français sont toujours détenus par AQMI. Les solutions de force, un temps préconisées, semblent trouver leur limite, comme on le voit également au large de la Somalie - où un dispositif naval a été engagé.
Trois bateaux pris en otage par les pirates ont été repris : le premier, au terme d'une négociation mais les pirates ont été poursuivis à terre, les deux autres avec l'assaut des commandos, mais un otage a été tué au cours de l'assaut des commandos. Il semblerait que l'usage de la force soit désormais plus mesuré.

2) Les réformes. Le quinquennat s'est ouvert avec un Livre blanc, une loi de programmation militaire et la révision générale des politiques publiques. Beaucoup de remue-ménage ! L'essentiel porte évidemment sur la réduction des effectifs de 56.000 hommes, toujours en cours. Elle se passe plutôt bien dans des armées dont la professionnalisation a été réussie.
Pour ceux qui restent, les difficultés portent sur les réorganisations internes, plus douloureuses, avec notamment la création des Bases de défense, qui n'ont toujours pas entièrement convaincu. Autre grosse difficulté, liée à des problèmes d'organisation, l'affaire du versement des soldes (Louvois). Ce sont, essentiellement, des problèmes de mise en place de réformes : une nouvelle fois, les armées ont montré qu'elles savaient se réformer, mieux et plus vite que beaucoup d'institutions civiles.
Les réformes se sont traduites par le fermeture de nouveaux sites militaires, relativement bien digérées au niveau local. A Paris, le grand enjeu est la construction du nouveau ministère à Balard. Au passage, on a évité le pire en évitant le "bradage" de l'Hotel de la Marine à des intérêts privés...
Toutes ses réformes se sont faites dans un cadre budgétaire relativement stable, malgré la crise. La France n'est pas dans l'état du Royaume-Uni, sans parler de pays comme l'Italie...

Actualisé : Une reforme importante a été adoptée, par le loi constitutionnelle du 23 juillet 2008. "Le gouvernement doit dorénavant informer le Parlement de sa décision de faire intervenir les forces armées à l’étranger, au plus tard trois jours après le début de l’intervention. Il précise les objectifs poursuivis. Cette information peut donner lieu à un débat qui n’est suivi d’aucun vote. Lorsque la durée de l’intervention excède quatre mois, le gouvernement soumet sa prolongation à l’autorisation du Parlement.". Toutefois, il ne semble pas que cette obligation ait été respectée dans le cas de l'engagement militaire français au Sahel.

3) L'Otan et l'Europe. Le quinquennat a été marqué par le retour de la France dans le commandement intégré de l'Otan. Quelle que soit l'issue des élections, cette décision ne sera pas remise en cause. Elle est donc devenue consensuelle entre les deux principales forces politiques du pays. Quel bénéfice la France en a-t-elle tiré, sur un plan concret et politique ? Cette réintégration coûte cher (notamment en postes d'officiers) mais l'influence de la France s'est-elle pour autant accrue dans les enceintes atlantiques ? On aimerait le croire, encore faut-il en apporter la preuve concrète. On l'attend toujours. Certes, des officiers ont obtenu des postes très prestigieux, comme ACT à Norfolk,mais au-delà des satisfactions d'amour-propre, qu'est-ce que cela change vraiment ?

C'est un mauvais procès que de reprocher à Nicolas Sarkozy d'avoir abandonné l'idée d'une défense européenne. Il s'y est essayé (le retour dans l'Otan étant une manière de mettre de rendre les choses plus faciles) mais en vain ! Nos partenaires ne sont pas intéressés. La proposition d'un QG à Bruxelles est toujours bloquée par les Britanniques. Les Allemands ont manifestement la tête ailleurs... comme on l'a vu dans l'affaire libyenne. L'Europe de l'Est est aux abonnés absents et celle du Sud, en crise. Faute d'Europe, c'est avec Londres que Nicolas Sarkozy a choisi de relancer la coopération en signant le traité de Lancaster House. Le pragmatisme l'a emporté.

4) La dissuasion. Nicolas Sarkozy a maintenu la dissuasion nucléaire - qui fait l'objet d'un total consensus avec François Hollande. Sa modernisation, lancée depuis longtemps, a été poursuivie, avec l'entrée en service des missiles M51 et AMSPA. Un autre grand sujet n'a pas été tranché - mais il ne pouvait pas encore l'être : la défense antimissile.

5) L'industrie de défense. Le quinquennat n'a pas été marqué par de grands dossiers industriels (comme l'avait été, par exemple, la création d'EADS ou la réforme des arsenaux). Dassault est entré dans le capital de Thalès. Le mandat de Nicolas Sarkozy a été marqué par le sauvetage, coûteux pour le contribuable, du programme A400M. En matière d'export, le Rafale a beaucoup occupé la Présidence, sans contrats signés. L'Inde devrait aboutir, mais l'annonce de contrat avec la Libye (de Kadhafi) puis le Brésil a été nettement prématurée. Reste toujours à décrocher la signature des Emirats. Parmi les grands succès à l'export, la vente de BPC Mistral à la Russie, une première.

5) Le moral. Lors de son élection, Nicolas Sarkozy n'avait pas la fibre militaire. Entre lui et la communauté militaire, les premiers mois furent très durs, au point que certains évoquèrent un antimilitarisme de droite... Les lendemains de l'affaire d'Uzbine marquent, là aussi, un tournant. Nicolas Sarkozy a alors trouvé les mots pour s'adresser à ces troupes. Le courant a été rétabli. Seul point noir : la gendarmerie. L'inclination policière du chef de l'Etat n'a pas rendu la vie facile aux gendarmes - qui ont quitté la Défense pour l'Intérieur.


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 Sujet du message: Re: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Lun 2 Juil 2012 13:46 
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peut on aujourd'hui serieusement proposer un bilan de la période 2007/2012 ?

je proposerai juste une mention sur la construction européenne : les innovations du mini traité sarkozyen (le président permanent du conseil, le ministre des affaires étrangeres communautaires) auraient pu être de facteurs puissants de définition d'une stratégie commune. il semble que ce soit une impasse (temporaire ?) et que les grands Etats (France, GB, Allemagne) préfèrent la coopération avec les américains (OTAN) plutôt qu'avec les "petits" européens.

la crise actuelle de l'euro souligne cela : l'europe c'est d'abord l'entente (ou la mésentente) entre quelques grands Etats - le refus anglais de l'euro exclut les anglais qui étaient par contre au premier plan en Libye (dont le allemands étaient absentst).

L'europe devient un club finalement assez souple et qui ne peut rien faire de sérieux sans les américains (ni contre eux). ce que les Anglais ont toujours voulu !


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 Sujet du message: Re: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Ven 13 Juil 2012 13:55 
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Bonjour.
Il est déjà possible de dégager des tendances fortes de ce quinquennat achevé. Il restera bien autre chose que les simples aventures militaire de ce Président tout de même 'hors norme"
marc30 a écrit:
peut on aujourd'hui serieusement proposer un bilan de la période 2007/2012 ?
L'europe devient un club finalement assez souple et qui ne peut rien faire de sérieux sans les américains (ni contre eux). ce que les Anglais ont toujours voulu !
Et entre autre dans ce que les 'communistes' qualifieraient de marche à rebours sur les avancées sociales.
On a l'impression d'une Europe qui grignote lentement les sources 'd'égalitarisme' et 'd'ascenseur social'. Par le fait d'une monnaie qui s'est unifiée sans véritable nécessité, et des effet pervers qui s'en sont ensuivit, nul ne semble voir se profiler l'ombre de la décroissance sociale.
Car si l'on a cherché à unifier par la monnaie (ce que certain voudraient défaire d'ailleurs, à tord ou à raison), ne va-t-on pas chercher à unifier par le social? Et si la monnaie est (trop) forte (1$ US vaut 0.75€ !!!) le social sera-t-il faible? Va-t-on aligner les travailleurs sur la Pologne ou la Bulgarie (ou l'Angleterre) ? ou plutôt chercher à faire une Europe au niveau de la France?
Et le mandat de M Sarkozy s'inscrit forcément dans cette évolution lente, ce que ne manquera pas de faire le mandat de M Hollande non plus d'ailleurs... A-t-il été contre cette décroissance sociale, l'a-t-il favorisée? Ou bien a-t-il essayé d'inventer une 'voie française'? Notre pays pourrait/devrait montrer à nouveau l'exemple à l'Europe, comme par le passé.


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 Sujet du message: Re: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Ven 13 Juil 2012 14:27 
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En fait, Sarkozy a suivi le mouvement de l' Union Européenne et ce mouvement a du tenir compte de la mondialisation qui condamne tout pays non compétitif. Son successeur probablement déçu est obligé de suivre le même chemin. D'autant que le PS est européen. C'est d'ailleurs F. Mitterrand qui a préparé et signé Maestricht en 1992, en accroissant le caractère fédéral de l'UE.
Plus personne ne peut arrêter la marche de l'europe et son adaptation à la mondialisation. A la rigueur en faisant bloc avec l'Allemagne, mais c'est maintenant trop tard. Par contre la France peut quitter l'europe. On peut aussi créer une europe du sud avec les sudistes.

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 Sujet du message: Re: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Ven 13 Juil 2012 18:02 
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Alain.g a écrit:
On peut aussi créer une europe du sud avec les sudistes.



Monsieur de la Palisse est mort,
Mort devant Pavie,
Un quart d'heure avant sa mort,
Il était encore en vie.

Il est vrai que créer une Europe du sud avec des nordistes ne va pas être facile.

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 Sujet du message: Re: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Ven 13 Juil 2012 20:26 
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Citation:
Il est vrai que créer une Europe du sud avec des nordistes ne va pas être facile.


C'est moins évident, mais pourquoi tomber dans la facilité?
Une Europe du Sud avec des Nordistes (certains) est viable: l'Irlande serait déjà pressentie :mrgreen: .


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 Sujet du message: Re: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Sam 14 Juil 2012 09:42 
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D'autant que cette europe du sud ne s'appellerait pas ainsi évidemment, ce qui n'a pas été compris.

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 Sujet du message: Re: Présidence Sarkozy : un bilan géopolitique est il possible ?
MessagePosté: Sam 14 Juil 2012 11:54 
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Je sais bien que je ne suis pas très doué, mais j'avais quand même compris. C'est la formulation pour le moins inadéquate qui m'a fait réagir.

Il ne fait aucun doute que nous ferons partie des pays du "sud" d'ici quelques mois.

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