Norte, pourquoi écarter d’un revers de main le faisceau d’indices qui relie un grand nombre de morts violentes d’individus liés aux Clinton ?
S’il y a dans ces diverses listes des noms qui n’ont manifestement rien à y faire, il y en a suffisamment de tellement opportunes et pour lesquelles, qui plus est, il est établi que les véritables conditions de la mort ont été maquillées par le rapport d’enquête ou passées sous silence par les grands médias, pour que ce soit extrêmement troublant.
http://mobile.wnd.com/2016/08/clinton-d ... ing-cases/Lancez juste 2 ou 3 recherches ne serait-ce que sur Vince Foster ou plus récemment Gareth Williams, John Ashe ou Seth Rich. Il ne fait pas bon risquer de témoigner sur des affaires risquant d’impliquer les Clinton, ni refiler à Wikileaks des informations internes au comité national du parti démocrate sur les tripatouillages de Clinton et de ses soutiens pour torpiller la candidature de Sanders.
Quant au problème des faux électeurs, voici quelques éléments.
http://www.thenewamerican.com/usnews/im ... l-electionLe niveau de corruption dans la politique américaine, locale comme nationale, est considérable et atteint des niveaux qu’on a peine à imaginer en Europe. C’est ce qu’on appelle l’esprit d’entreprise. Des gens qui ont le goût de l’initiative prennent des risques, franchissent délibérément la ligne jaune, selon le bon principe qu’au bout d’un certain temps, possession vaut titre. C’est toute l’Histoire des USA qui sont un pays fondé sur et par le vol et la violence, ainsi que la fraude. Regardez aussi du côté de l’Histoire des barons voleurs.
Je précise que ce n’est pas nouveau. Il y a déjà eu des fraudes massives aux élections présidentielles américaines. Notamment lors de l’élection de 1960 où le père Joe Kennedy s’est entendu avec la mafia de Chicago et les syndicats de camionneurs pour bourrer éhontément les urnes dans l’Etat du Michigan et permettre ainsi l’élection du fiston JFK.
Il y avait déjà eu des votes d’électeurs illégaux inscrits par fraude sur les listes électorales. Même si les « minorités » votent majoritairement pour les démocrates parce que le parti démocrate s’est depuis une génération positionné comme le parti des minorités plutôt que comme le parti des ouvriers qu’il était avant, ce vote frauduleux n’a toutefois jamais été décisif jusque là dans une élection présidentielle américaine parce que les écarts ont toujours dépassé le niveau estimé de fraude. Et surtout, jusqu’à présent, et les candidats républicains et les candidats démocrates étaient très libéraux sur les questions d’immigration et d’immigration illégale. C’est Reagan qui a lancé la politique de porte ouverte de facto et de tolérance de la présence en grand nombre d’immigrés clandestins.
Le problème est que dans cette élection présidentielle de 2016, pour la 1ère fois depuis près d’un siècle, un des deux grands candidats avait pris une position très tranchée sur le sujet de l’immigration, affirmant vouloir bloquer les nouveaux flux d’entrée et vouloir expulser massivement les clandestins. Et là, le résultat a fait que l’un des candidats a emporté de très peu un nombre décisif d’Etats (quelques milliers de voix) et que le candidat prônant le maintien de l’ouverture aux flux migratoires, la régularisation des clandestins (estimés à une douzaine de millions) et massivement bénéficiaire des votes d’électeurs illégaux, a remporté au niveau fédéral plus de suffrages populaires.
S’agissant de la gigantesque fraude fiscale que constitue la fondation Clinton qui est la simple façade d’une entreprise de détournement de fonds (avec la complicité des donateurs qui achètent eux-mêmes des promesses et de l’influence), de corruption politique à l’échelle internationale et, accessoirement d’enrichissement personnel, je vous renvoie à l’expertise de Charles Ortel.
http://charlesortel.comhttp://.post-gazette.com/opinion/jack-k ... 1609040123http://yournewswire.com/clinton-foundation-adùit-85-of-donations-do-not-go-to-charity/
Quant au fait que Hillary Clinton était la plus dangereuse candidate à la présidence que les USA aient jamais vue, je vous renvoie à Jill Stein, la candidate du parti vert à l’élection présidentielle américaine.
http://www.dailymail.co.uk/news/article ... ussia.htmlCeci étant dit, et pour répondre à Narduccio, je n’ai jamais dit que Trump était un saint ni quelqu’un de bien.
Trump, outre le caractère et le genre du personnage que je trouve à titre personnel extrêmement vulgaire et ridicule, est un requin des affaires, très doué en marketing, mais qui a mis pas mal de ses créanciers sur la paille en réalisant des investissements foireux, qui a monté des entreprises ayant terminé dans des faillites ayant aussi coûté leur chemise à certains de ses clients, avec des business models dont on peut en effet présumer qu’ils avaient un caractère frauduleux.
Il ne faut pas rêver. Dans le niveau de déliquescence atteint aux USA, il n’y a pas de place pour que quelqu’un de bien et de moralement irréprochable. Quand quelqu’un de bien comme Sanders ou Warren envisage de se présenter à la primaire démocrate, le réseau constitué par les barons qui tiennent l’appareil du parti, les financeurs et leurs amis des médias Mainstream, se débrouillent pour empêcher ou torpiller la campagne de cet outsider.
L’appareil du parti républicain a échoué à juguler la candidature Trump parce que l’électorat républicain était très divisé entre modérés et durs de la droite religieuse et parce qu’il y a eu une tel nombre de candidats que les insiders ont éparpillé leur potentiel de voix, permettant ainsi à l’outsider Trump de l’emporter. S’ils avaient monté à temps la candidature unique d’un insider dans leur primaire, ils auraient eu beaucoup plus de chances de contrer la candidature Trump, quitte à aider les électeurs en recourant à la fraude comme l’a fait l’appareil du parti démocrate au bénéfice de Clinton contre Sanders.
Seul un requin pouvait réussir à vaincre l'alliance des bellicistes-affairistes-globalistes néoconservateurs et faucons libéraux, qui, avec l'appui de Wall Street, du complexe militaro-industriel, des grands groupes de média, ont pris le pouvoir aux USA depuis 1988-1992 et l'exercent sans partage. Bush père et avec lui les néoconservateurs affairistes ont mis la main sur la maison Blanche. Et la tenaille a été refermée quand Bill Clinton a mis la main sur le parti démocrate qu'il a transformé en parti républicain bis, modulo le libéralisme en matière de moeurs et le choix de faire du parti démocrate le parti des minorités de tout ordre.
Trump était ce requin. Il avait les moyens qui lui permettaient de financer sa campagne, l'aura médiatique qui lui permettait de forcer les médias de le recevoir et de lui donner de l'écho parce que leurs recettes commerciales dépendent de leur audience et que Trump drainait beaucoup d'audience. Et il a su sentir la situation politique de son pays et enfourcher un cheval de bataille susceptible de le faire gagner.
Je ne me félicite pas du tout qu'un tel énergumène ait été élu président des USA.
En revanche, je me félicite que Hillary Clinton n'ait pas été élue présidente des USA parce qu'avec elle, il y aurait eu une cinglée belliciste à la tête des USA et qu'on aurait eu un risque excessivement élevé de se retrouver dans la situation du Docteur Folamour.