Berjema, l’île fantômeUne université mexicaine vient de confirmer la disparition inexpliquée de ce rocher qui servait à délimiter la zone des 200 milles nautiques mexicains. Un caillou stratégique puisque, sans lui, l’accord signé en 2000 entre les États-Unis et le Mexique sur le partage d’une zone pétrolifère baptisée Hoyo de dona permettrait aux Américains de pomper une plus large portion des 22 milliards de barils de pétrole que recèleraient les fonds marins. Et dont l’exploitation devait débuter en 2011.
2009, Le Point 1929, 18