Huyustus a écrit:
Le message d'Odigo : nulle part le lien que vous donnez n'indique que ce message aurait prévenu les deux personnes de ne pas aller au travail ce jour là. Il est juste dit qu'ils ont reçu un message prévenant d'un attentat.
La plupart des liens sont morts après sept ans donc j'aurais du mal à vous trouver un autre lien vers cette affaire Indigo. A l'époque, le FBI a lancé une enquête car ces messages disaient clairement à ces deux employés de ne pas aller travailler ce jour-là. La direction d'Indigo a elle-même pris l'affaire au sérieux. Malheureusement, on n'en a ensuite plus entendu parlé, l'affaire s'est évaporée, comme beaucoup de choses dites ou vues juste après le 11 septembre.
Dans ce cas-là, et au vu des exagérations proférées par un certain nombre d'islamo-gauchistes (l'histoire des 6000 Juifs qui n'auraient pas été travailler ce jour-là), parler de cette affaire Indigo (tout comme parler des ''cinq Israéliens dansant'') faisait sans doute craindre de passer pour antisémite ou quelque débilité politiquement correcte de ce genre.
Citation:
Le sénateur : il parle de soutien de pays étrangers au terrorisme aux USA, y compris pour ceux du 11/9. Plus loin il parle de preuves déterminantes, mais ensuite il dit qu'il y a 13 demandes au FBI pour suivre la piste, sans réponse. En gros, il a de fortes présomptions, mais aucune preuve, ce qui est son droit.
Il n'en parle pas parce qu'il n'en a pas le droit! Les documents sont classifiés. On ne le saura que dans quelques dizaines d'années...
Citation:
Les 5 israéliens : encore une fois, relisez avec attention vos liens. Il n'est nulle part indiqué qu'ils faisaient partie du Mossad, ni d'une émanation chargée de surveiller les islamistes. Ce n'est que supposition d'un des journalistes, et informations de seconde ou troisième main. Donnez-nous plutôt les liens originaux, par exemple de ce journal juif new-yorkais qui indique que selon le FBI, deux des cinq seraient du Mossad.
Encore une fois, la plupart des liens sont morts. A l'époque, plusieurs reportages ont paru qui enquêtaient sur ces cinq Israéliens. Ils appartenaient à une boîte de production israélienne aux Etats-Unis chargée de documenter les méfaits de l'islamisme, une sorte de boîte d'agit-prop, qui a fermé et dont le propriétaire est rapidement parti en Israël.
Le plus intéressant dans les liens que j'ai donnés, c'est évidemment l'enquête de Fox News (qui a bien changé depuis...) sur l'infiltration du Mossad aux Etats-Unis.
Sur mon ordinateur parisien, j'ai encore (j'espère) les articles de presse qui parlent du fait que plusieurs cellules du Mossad habitaient à quelques centaines de mètres des cellules d'Al-Qaeda qui préparaient les attaques. Si vous avez vraiment suivi les faits à l'époque, vous ne pouvez pas ne pas en avoir entendu parler.
Citation:
L'officier paniqué ? Tout le monde n'a pas des "nerves of steel", et abattre un avion plein de civils, il vaut mieux être sûr d'avoir bien entendu l'ordre ; ça ne me choque pas...
Je vais vérifier dans le rapport, mais à mon avis, il y a un petit problème d'horaire. Pourquoi quelqu'un demanderais si on peut abattre un avion qui s'est déjà écrasé ?
Je crois que vous n'avez pas tout à fait saisi ce dont il est question.
D'abord, il s'agit d'après Mineta de l'avion qui se dirigeait vers le Pentagone, donc il ne s'était pas déjà écrasé.
Ensuite, vous n'avez pas compris que ce qui est bizarre, ce n'est pas que le jeune officiel était paniqué! Ou faites-vous semblant de ne pas comprendre?
Je vous réexplique la situation:
pendant que l'avion se dirige vers le Pentagone on a un jeune officiel qui vient plusieurs fois voir le vice-président Dick Cheney pour lui demander si ''les ordres tiennent toujours''. Dick Cheney lui répond que oui.
La question est de savoir quels étaient ces ordres. Si ces ordres étaient d'abattre l'avion, le jeune officiel ne serait pas revenu plusieurs demander les ordres à Dick Cheney: il aurait transmis l'odre d'abattre l'avion et l'avion aurait été abattu, point final.
Si ces ordres étaient de ne pas abattre l'avion, alors là oui, l'attitude de ce jeune officiel s'explique, mais cette histoire nous amène très très loin et j'aimerais comprendre.
Citation:
Si on ne reste pas aux faits, toutes les fantaisies de l'esprit sont permises, mais ça ne mène pas grand part... Restons-en aux faits.
Donc vous faites semblant de vous intéresser à ces questions d'un côté tout en sachant que ce sont des ''fantaisies''. Intéressant...