Duc de Raguse a écrit:
l'Euro n'a jamais été aussi bas depuis plus de 10 ans.
Il n'en demeure pas moins que les sanctions contre la Russie finiront par avoir un "effet" significatif sur l'économie russe. C'est vous même qui l'avait affirmé et vous avez probablement raison.
Duc de Raguse a écrit:
On vous écrit Le Maire et Macron on déclaré cela (sources à l'appui)
En ce qui concerne Le Maire, je vous ai déjà répondu. Il est "spécial". Vous rangez les déclarations de Le Maire et celles de Macron dans la même catégorie. Je ne vois pas les choses ainsi.
Duc de Raguse a écrit:
Et sinon, vous avez cherché la définition de la "cessation de paiement" ?
La définition est une chose, la "conséquence" en est une autre. Un
défaut de paiement coupe automatiquement un État des marchés financiers et compromet son retour pour des années.
On peut se demander si la Russie a un besoin impérieux des marchés financiers pendant les 9 ou 12 prochains mois. Je n'en suis pas certain, mais je peux me tromper.
Le lundi 21 mars, j'ai posté un message pour évoquer le risque d'un défaut de paiement de la Russie (vous pouvez regardez si vous le souhaitez).
La Russie avait jusqu’au 16 mars pour payer 117 millions de dollars liés à ses emprunts sur le marché obligataire. On craignait un défaut de paiement, mais la Russie a payé.
Le défaut n'a pas eu lieu. Il faudra suivre l'actualité économique en mai et juin, car la question va probablement se poser à nouveau.
Quelles auraient été les conséquences d'un défaut le 16 mars ?Le cabinet Capital Economics affirme, à la veille du 16 mars, qu'un [éventuel] défaut russe "n'affectera pas la capacité du gouvernement russe à se financer (au-delà de ce que les sanctions ont déjà fait) et il semble peu probable qu'il y ait des retombées importantes ailleurs dans le monde". "Le plus grand risque est peut-être qu'il s'agisse d'un prélude à des défauts d'entreprises russes, dont les dettes extérieures sont plus de quatre fois plus importantes que celles de l'État", estiment ces analystes.