Le salon géopolitique de Passion-Histoire

Je parle des territoires qui ont été occupés à partir du 24 février 2022. Cela englobe Melitopol, Berdiansk, etc.




En ce qui concerne l'endoctinement, je ne me souviens pas avoir parlé des zones "séparatistes". En revanche, j'ai parlé des zones séparatistes pour une autre thématique.




Pouvez-vous parler sur le fond au lieu de parler sur la forme ?

Ceci est du fond !
Qualifier, comme vous le faites, les Ukrainiens de l'Est en révolte contre Kiev depuis 2014 d' "ennemis" (de qui ? de vous ? des lecteurs ? de ce que tout le monde doit penser selon vous ?), revient à se placer dans une position identique à celle du régime de Kiev.
Bien entendu, à partir de ce postulat, il ne peut y avoir d'impartialité dans vos jugements et vous vous contentez de balancer ici de la simple propagande.
Ce n'est ni l'objectif de cet espace, encore moins de ce fil de discussion.

En juillet 1936 deux camps s'affrontent en Espagne. Chacun des deux camps est l'ennemi de l'autre. Ceux qu'on appelle les "nationalistes" sont les ennemis de ceux qu'on apelle les "républicains", et vice-verça. Chacun des deux camps est esagnol, ce qui n'empêche pas d'être ennemi.

Parlez vous des combattants ou des populations ?

D'une façon générale je ne suis pas certain qu'on emploie de façon courante le terme d'ennemi pour désigner les populations d'un pays en guerre civile.

Et accessoirement le gouvernement Ukrainien reconnaît les habitants du Donbass et de Crimee comme des compatriotes victimes de l'occupation russe ...

Si vous parlez d'ennemi vous entrez dans la logique guerrière de Poutine...méfiez vous ! Seriez vous un troll russe ?

Bonjour Aigle,
Vous me posez des questions alors qu'il serait plus facile de relire les messages que j'ai posté jeudi :

En 2024 deux camps s'affrontent en Ukraine. Chacun des camps est l'ennemi de l'autre. Ceux qu'on appelle les "séparatistes" sont les ennemis de ceux qu'on appelle les "légalistes"', et vice-verça (sic.). Chacun des camps est ukrainien, ce qui n'empêche pas d'être ennemi.
En 2024, un certain Stonehenge, jusqu'à preuve du contraire non-ukrainien, utilise le qualificatif d'"ennemi" pour qualifier une partie et non l'autre des belligérants, ensuite il nous fait croire qu'il est impartial et lorsqu'il n'est pas d'accord avec des faits rapportés, il explique que c'est un certain M. Baud qui est venu les écrire ici...

Des civils se trouvaient des deux côtés de la ligne de contact.
D'un côté de la ligne ce sont des civils tués par les tirs de l'armée ukrainienne. De l'autre côté de la ligne se trouvent des civils tués par les tirs des groupes séparatistes.

C'est le gouvernement de Kiev qui, le premier, au mois d'avril 2014 a envoyé des forces armées contre des séparatistes alors mal ou pas armés/organisés dans le Donbass.
N'inversons pas l'ordre chronologique des événements.

Il est à noter que les "séparatistes" du Donbass qualifient déjà le régime de Kiev de "fasciste" au printemps 2014.
Il faut également rappeler que dans de nombreux oblasts russophones de l'Est et du Sud de l'Ukraine une majorité de la population ne veut ni des "pro-Maïdan", ni des "pro-russes". Un jour, leur histoire sera peut-être écrite lorsqu'un peu de nuance sera de rigueur.

Je ne fais que répondre à un contributeur qui considère que la mortalité des civils résulte uniquement des tirs de l'armée ukrainienne.

Peu importe, à votre manière, vous faisiez croire plus haut que les deux camps étaient responsables de cette "guerre du Donbass" et de ses multiples morts, alors que le gouvernement de Kiev a été le premier à envoyer des forces armées contre ces personnes, qui je le répète, au départ, ne disposaient de pas grand chose en terme d'organisation et d'armes.
C'est le régime de Kiev qui, dès le mois de mars 2024, a qualifié ces personnes de "terroristes" et a considéré qu'ils ne devaient plus être considérés comme des Ukrainiens et avait donc employé la force armée contre eux. Un peu comme vous en fait, puisque vous reprenez à votre compte cette vision (très) orientée des faits.