Bonsoir
Le samedi, en depit des avertissements de tous les cotes, le president autonomique catalan, a signer le decret autorisant le referendum sur l independance de ce territoire.
La tension est en train de monter, demain le tribunal constitutionel español doit recevoir la demande de suspension du gouvernement central, ce qui paralise tout le proces du refenrendum. Les nationalistes declarent que rien, n arretera le referendum.
Le procès indépendantiste de la région catalane n est rien d autre qu un véritable coup de force des nationalistes contre l'État démocratique, ou sous le slogan du droit à decider, ils veulent devenir indépendants passants outre les lois, argumentant que voter c'est la base de la démocratie.
Rien à dire, car la démocratie c'est, entre d'autres le droit de voter. Mais il y a des règles à suivre, par exemple, les nacionalsites veulent s approprier d'une décision qui affecte tous les Espagnols, niants au reste des espagnols les droits qu'ils s agrogent en exclusivité, ou les donnant aux etrangers qui resident en Catalogne.
La Constitution espagnole est claire sur ce sujet: les autonomies peuvent, selon certaines règles, convoquer des referendums, avec l autorisation du congrès, et exclusivement sur des matières qui les concernent. Mais elles ne peuvent pas convoquer des referendums sur les matières ou sujet qui intéressant plus d'une communauté autonomique.
Or, il est évident qu'un referendum d'indépendance interese le reste des communautés, car celui-ci met en question les frontières, la population, les lois… de l'État.
Et les règles du jeu ont jeté changes par les nationalistes, sans accord avec les autres partis politiques.
Le pouvoir selon la Constitution espagnole réside dans le peuple espagnol dans son ensemble, pas dans une de ses parties.
Et le pouvoir du peuple est représenté par le Congrès, et celui-ci par majorité a déclaré il y a quelques mois, que le referendum sur l'indépendance d'une partie du territoire n'est pas autorisé, dans un débat, ou le président autonomique catalan, n'a pas osé participer, de peur de se voir en une difficile situation, comme le fut il y a quelques années, le président autonomique basque dans un cas sembable.
Nous sommes à différence de l'Écosse, si souvent mise comme exemple de démocratie par les nationalistes, devant un bras de fer entre l'état et une région.
Et il ne faut pas tomber dans le piège propagandiste des nacionalsites de croire que toute la population de la Catalogne participe de la volonté d'indenpendence, il s 'agit d'une partie de la population, celle qui à droit de parole, celle qui est généreusement subventionnée par l'administration autonomique. La population qui est contraire à l'indépendance, n'a pas droit à la parole, ne bénéficie pas d'aides, n'est meme par organiser ou timidement. Elle se sent surveiller, elle craint de se manifester publiquement, elle craint de se voir subir le même traitement que la population non nacionalsite du pays basque, soumise à la peur de représailles de par des nationalistes.
Par exemple, l'ANC a lancé une campagne de porte à porte avec des volontaires pour expliquer les bénéfices de l'indépendance, et nombreux sont les non nationalistes qui craignent, s ils refusent ou s'opposent à la visite des volontaires, d'être inclus dans une liste noire.
Que fera l'État espagnol devant ce bras de fer? Il ne peut pas céder au chantage des nacionalsites, qui réclament plus de pouvoir, ils bénéficient en fait d'un pouvoir énorme, l'état des autonomies espagnols étant fortement décentralisé, céder plus de pouvoir impliquera la destruction de l'État. Donc l'état ne peut pas céder non plus son pouvoir à une seulerégion, la Constitution reconnaît l'égalité de Tous les Espagnols, donc donner plus de pouvoir à une seule partie du territoire, serait creerune inégalité, que le reste de régions m'empresserait à dénoncer ou àvouloir imiter.
Il ne lui reste donc qu'à forcer aux nationalistes catalans à faire marche arrière, sous la menace de sanctions pénales a Tous deux qui décideront de suivre le chemin de l'ilegalite. Quant aux nationalistes catalans, pris au piège par lesindépendantistes, il ne leur reste plus qu'a soit suivi la loi, soit àdéclarer unilatéralement l'indépendance. Deux options qui les mettent en péril. La première par ce qu'ils ont promis à leurs fidèles qu'ils pourront voter, tout en sachant qu'ils violent la loi, donc s ils font marchearrière ils risquent de perdre des votes. La seconde car l'indépendance unilatérale, a un cout, d abord avecl'Espagne, qui ne se laissera pas faire, puis avec l'Unioneuropéenne, qui a déjà dit que tout nouvel État devra demander son entree dans l'Ue, et si l'Espagne et d autres si opposent, le futur État catalan connaîtra de véritables problèmes économiques.
N'oublions pas qu'un des arguments des nationalistes, que l'État espagnol vole les ressources des Catalans, ne se soutient pas. Lesnationalistes sont au pouvoir depuis 30 ans, avec d'amples pouvoirs de décision, les politiques économiques qu'ils ont suiviesont eu pour effets d'appauvrir la Catalogne, qui curieusement ete lemoteur économique de l'Espagne sous la dictature! Politiques économiques plus dirigent vers la creación d'un état quevers la tissue industrielle et commercial, dérivant d'énormesquantités de ressources vers les politiques identitaires. La creaciónd'une televisión autonomique géante, d'uen radio puissante,d'ambassades catalanes dans les principales villes d'Europe, d'uenpolice qui a l'un des salaires les plus élevés d'Europe… Sans oublier que les nationalistes ne se sont pas privés de m'enrichirfrauduleusement, comme le prouvent les cas Pujol, Palau de laMusica… Le slogan l'Espagne nous vole, est mise en évidence. Ou il apparaît que la volante des nationalistes de creer un nouvelÉtat, est basée sur l'intention de se soustraire à l'action de la justice espagnole
Que fera l'État espagnol devant ce bras de fer?
Il ne peut pas céder au chantage des nacionalistes, qui réclament plus de pouvoir. En fait ils bénéficient d'un pouvoir énorme, l'état des autonomies espagnol étant fortement décentralisé, céder plus de pouvoir impliquera la destruction de l'État.
Donc l'état ne peut pas céder non plus son pouvoir à une seule région, la Constitution reconnaît l'égalité de tous les espagnols, donc donner plus de pouvoir à une seule partie du territoire, serait creer une inégalité, que le reste des régions s'empresserait à dénoncer ou à vouloir imiter.
Il ne lui reste donc qu'à forcer aux nationalistes catalans à faire marche arrière, sous la menace de sanctions pénales a tous ceux qui décideront de suivre le chemin de l'ilegalite.
Quant aux nationalistes catalans, il ne leur reste plus qu'a, soit suivre la loi, soit déclarer unilatéralement l'indépendance.
Deux options qui les mettent en péril.
La première par ce qu'ils ont promis à leurs fidèles qu'ils pourront voter, tout en sachant qu'ils violent la loi, donc s ils font marche arrière ils risquent de perdre des votes.
La seconde car l'indépendance unilatérale, a un cout, d abord avec l'Espagne, qui ne se laissera pas faire, puis avec l'Union européenne, qui a déjà dit que tout nouvel etat devra demander son entree dans l'UE, et si l'Espagne et d autres, si opposent, le futur etat catalan connaîtra de véritables problèmes économiques.
N'oublions pas qu'un des arguments des nationalistes, que l'État espagnol vole les ressources des catalans, ne se soutient pas. Les nationalistes sont au pouvoir depuis 30 ans, avec d'amples pouvoirs de décision, les politiques économiques qu'ils ont suivis ont eut pour effets d'appauvrir la Catalogne, qui curieusement fut le moteur économique de l'Espagne sous la dictature!
Politiques économiques plus diriger vers la creación d'un état que vers le tissue industriel et commercial, dérivant d'énormes quantités de ressources vers les politiques identitaires. La creaciónd'une televisión autonomique géante, avec plus de ressources que les chaines privees qui couvrent toute l Espagne, d'une radio puissante, d'ambassades catalanes dans les principales villes d'Europe, d'une police qui a l'un des salaires les plus élevés d'Europe…
Sans oublier que les nationalistes ne se sont pas privés de m'enrichir frauduleusement, comme le prouvent les cas Pujol, Palau de la Musica… Le slogan l'Espagne nous vole, est mise en évidence.
Ou il apparaît que la volonte des nationalistes de creer un nouvel etat, est basée sur l'intention de se soustraire à l'action de la justice espagnole.
si vous avez pu suivre le vendredi l actuation de Jordi Pujol, ex president autonomique dans la Comission du Parlement catalan, ou en theorie il devait repondre aux questions des parlemantaires sur son enrichissement illicite, vous aurriez pu vous surprnedre devant son discours initial, ou il ne raconte que des bobards sur sa famille, puis apres avoir ecouter les questions des differents groupes, ou seuls les non nationalistes ont "ose" lui poser des questions sur sa fortune, le reste des forces nationalistes n ont practiquement rien dit, l ex president a eclate en une forte colere, devant les questions qu il considere n etant pas adecuates, donnant des leçons de morale.
Lamentable reponse d un politicien qui a ete au pouvoir plus de 20 ans.
Sa comparessance n a rien eclaiçi sur l origine de sa fortune, ni sur les pots de vins, corruption de son parti politique...
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