Le facteur religieux n’est pas le seul mais il n’est pas très rationnel et délicat de l’exclure des causes.
Personne ne peut nier que dans l’histoire il y a plusieurs siècles de combats qui sont intimement liés aux croyances religieuses, à la foi en Dieu, pour toutes les croyances religieuses. Le temps inverse progressivement les valeurs en occultant les victimes, comment dissocier les combats actuels qui se déroulent suivant le même schéma séculaire des croyances religieuses ?
Avec l'oubli sélectif irrationnel, les victimes du passé seraient-elles plus coupables et justifiées ?
On comprend parfaitement que l’implication de Dieu dans les combats meurtriers soit difficile et douloureuse à admettre, mais il en est ainsi, « Dieu lui sait » pourquoi selon la formule consacrée quand il ne faut pas chercher à comprendre.
Le martyr de type « hizbullah » Article publié le 24/02/2014 Par Marcelle Champagne
http://www.lesclesdumoyenorient.com/Le- ... h.html#nb4Citation:
L’attribution du statut de martyr n’est ainsi pas consensuelle au sein du monde musulman. L’imam Al-Shafi’î estime qu’est martyr celui qui meurt en combattant les mécréants. Dans ces conditions, quelle serait la définition de la mécréance ? L’individu qui ne croit pas ? Celui qui croit mal ? Mal par rapport à qui, par rapport à quoi ? Les interprétations de la mécréance sont pléthoriques et ne nous permettent pas de dégager un horizon suffisamment neutre vers lequel orienter notre réflexion.
Le martyre dans l'Islam actuel :
http://www.oasiscenter.eu/fr/articles/d ... lam-actuel"L’attribution du statut de martyr n’est ainsi pas consensuelle au sein du monde musulman" : il semble évident qu’il ne faut pas faire l’amalgame de tous les musulmans.
Idem pour les chrétiens qui doivent admettre les méfaits de l'inquisition sans être désignés comme des croisés coupables de nos jours.