Narduccio a écrit:
Caesar Scipio a écrit:
La réponse assez évidente est que c'est parce que ce sont eux qui ont triché et de manière éhontée mais qu'en outre cela n'a pas suffi à les faire gagner.
Premièrement, je crois que vous ne comprenez pas grand chose à comment fonctionne la démocratie. N'oubliez pas combien Trump avait choqué une grosse partie de l'opinion en ne déclarant pas être prêt à reconnaitre le verdict des urnes...
Deuxièmement, vous lancez une accusation gratuite étayée sur vas phantasmes. L'expérience montre souvent que ce sont les plus grands tricheurs qui crient à la fraude pour ajouter de la confusion et amener le camp adverse sur la défensive.
Je pense que je connais non seulement la démocratie mais que je connais beaucoup mieux la démocratie américaine que vous, Narduccio.
Le système politique américain est délibérément construit de manière archaïque et bordélique pour permettre la triche et la fraude, pour permettre le "cronyism". A la fois dans les partis, et davantage dans le parti démocrate que dans le parti républicain, et dans les Etats et les comtés.
La fraude fiscale massive de la fondation Clinton est un fait établi avant même d'avoir été jugé. C'est le scandale de l'ARC puissance 100. Seulement 6% des dépenses de la fondation Clinton se rattachent à son objet social. Cette fondation est juste le vecteur de corruption, de clientélisme et d'enrichissement personnel des Clinton sur les scènes américaine et internationale.
La haute trahison des Clinton, au sens légal du terme, a été clairement établie par les e-mail massivement publiés par WikiLeaks. Clinton s'est délibérément affranchie des règles sur le secret et sur la sécurité informatique pour pouvoir mener sa diplomatie parallèle en échappant à la surveillance du congrès et pour négocier directement des accords avec ses amis saoudiens, qataris, et turcs, eux-mêmes employant les sous-supplétifs d'Al Qaïda/Al Nosra (pour Daech, ils ont arrêté en 2015 quand les bombardements russes ont coupé les voies de contrebande avec Daech).
Quant aux meurtres, prenez juste le temps de faire une recherche "Clinton body-count" et vous constaterez que même si certaines morts leur sont rattachés de manière peu sérieuse, en revanche il y en a tellement qui correspondent aux mêmes schémas que vous ou moi aurions déjà été mis en examen, jugés et coffrés pour 10 fois moins.
Les Clinton sont les Bonnie and Clyde de la politique américaine. Les Clinton ont beaucoup "innové" en matière politique. Sauf qu'à l'ère d'internet, toutes leurs magouilles sont en train de remonter à la surface et de leur exploser à la figure.
Jamais il n'y avait eu des candidats aussi corrompus et criminels depuis l'après guerre de sécession.
Il m'a fallu du temps pour le mesurer. Dans les années 1990, je trouvais Bill Clinton fort sympathique par rapport aux cul-bénis faux derches du camp républicain (même ses affaires de jupon me le faisaient paraître presque français). Et la catastrophe G Bush junior a contribué à rendre Bill encore plus sympathique. Sauf que depuis, j'ai creusé la question et qu'Hillary est venue, faute de partager l'adresse et le côté très sympathique de son mari, jeter une lumière crue sur la réalité du système Clinton. La prétendue "right-wing conspiracy" a bon dos. Trop c'est trop. Si on parlait de faisceaux d'indices, ce serait encore insuffisant. La seule chose qui a fait défaut jusqu'à présent, c'est la volonté, au sein du système judiciaire américain d'ouvrir un procès contre des faits et des preuves accablants.
Quant à Trump, il faut être précis sur les éléments auxquels vous faites référence. Trump avait précisément refusé de reconnaître à l'avance et sans réserve les résultats futurs de l'élection parce qu'il dénonçait le risque de fraude massive au bénéfice de Clinton. Il a donc dit qu'il attendrait le résultat et de voir si les élections avaient été truquées ou non à son détriment pour décider s'il reconnaissait le résultat des élections ou si au contraire il dénonçait la fraude devant les tribunaux.
Trump a choqué une grande partie de l'opinion sur beaucoup de sujets. Mais sur ce sujet précis, ce sont surtout les "pundits" comme on dit, les partisans de Clinton dans les grands médias et dans les partis, qui ont dénoncé le refus "scandaleux" de Trump de renoncer a priori à contester les résultats frauduleux de l'élection si cette fraude avait pour effet de faire gagner Clinton.