LordFoxhole a écrit:
Dans le cas des terroristes dont je parle plus haut, il ne s'agit aucunement de « convertis » ou d'« étrangers »... Tous ces braves gens étaient des Musulmans nés dans des familles d'origine musulmane. Ils étaient nés en France ou en Belgique et étaient passé à travers un système éducatif sensés les rendre laïques et tolérants.
Il y a donc quelque chose qui n'a pas fonctionné en cours de route...
Vos remarques suggèrent la culpabilisation classiques des victimes et la responsabilité du système éducatif qui est désigné inlassablement comme impur. On retrouve la même rhétorique avec les agressions sexuelles des femmes qui commettent le délit de sortir trop dévêtues, ou de sortir tout simplement. La pornographie serait une exclusivité des kouffars.
Oui, c’est aussi la naïveté, le ventre mou, un certain masochisme du coté des kouffars…. et surtout leur méconnaissance de l’histoire.
C’est une question de méthode de la part des recruteurs.
Comment voulez vous que la promesse d’absolution de tous les crimes et délits par le crime ne présente pas un attrait et surtout une facilité ?
Il est infiniment plus simple de lutter physiquement qu’intellectuellement.
Avec la glorification des crimes de l’individu en fonction de leur gravité et de la cible, vous allez attirer tous les délinquants notoires et potentiels en leur promettant le paradis. On cultive la glorification du crime au nom de Dieu, assassiner un être impur pour être promu est beaucoup plus accessible que de passer une thèse.
La promotion sociale via le crime est beaucoup plus simple que celle des études, il est vrai que les difficultés discriminatoires pour accéder aux études accentue la tendance.
Sans le prétexte de Dieu, le combat serait une révolution classique, « entre nous », les révolutions ont toujours fabriqué des morts.
Les causes sont multiples, il ne faut pas occulter celle de la valorisation du crime pour un Dieu, qui d’évidence ne fait pas partie des préceptes éducatifs des kouffars.
Oui, on peut tuer, mais sans l'aide d'un Dieu on peut s'arrêter de tuer. L'idéologie classique, "non divine", du crime n'est pas intemporelle, on en voit la fin.