L'UE connaît en ce moment quelques évolutions qui passent inaperçues et sont délicates à interpréter.
En vrac :
- le PE demande la démission du SG de la Commission (Martin Selmayer, homme de confiance ou âme damnée de JC Juncker comme on voudra) - c'est un élément de nature à exprimer la volonté des parlementaires d'exercer un réel contrôle sur la commission - la France a obtenu u ndurcissement du régime du travail des poids lourds rétablissant un (relatif équilibre) de la concurrence : il s'agit d'un succès pour E Macron - la création d'un budget de la zone EURO est actée ... mais avec un volume dérisoire...la France a obtenu un esatisfaction de façade. On peut en déduire que malgré le BREXIT, le fédéralisme ne progresse guère et/ou que la France ne peut imposer sa volonté aux Etats rigoureux .
Il est clair que la situation intérieure française (fort chômage et agitation sociale) ne nous place aucunement en position de force face à une Allemagne, certes affaiblie par la fragilité de sa coalition parlementaire, mais forte de son plein-emploi et appuyée par les Pays Bas tandis que ni l'Espagne ni l'Italie ne sont aucunement en mesure d'imposer leur voix à Bruxelles.
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